L’attaquant vedette des Lions du Sénégal, Sadio Mané, a déclaré que le plus grand bonheur de sa vie n’est pas de “marquer des buts ou de gagner des trophées”, mais de “rendre service à la communauté”. Selon lui, voir “un sourire sur le visage des autres” le touche profondément et lui procure une joie incomparable.
Ces confidences ont été faites lors d’un entretien en wolof diffusé par les équipes de communication de la Fédération sénégalaise de football (FSF) sur les réseaux sociaux. L’attaquant d’Al-Nasr, actuellement en regroupement avec la sélection nationale, prépare la dernière journée des éliminatoires du Mondial 2026, prévue mardi face à la Mauritanie au stade Maître Abdoulaye Wade.
Leader du groupe B avec 21 points, le Sénégal n’a besoin que d’un nul pour valider sa qualification.
Évoquant son tempérament, Mané se définit comme un “plaisantin”, précisant que, malgré son image de joueur “cool et poli”, il aime les moments de rigolade, surtout avec ses proches. Il a aussi confié qu’il aurait aimé devenir enseignant s’il n’avait pas embrassé une carrière footballistique.
“Ma mère voulait que je sois assidu à l’école. À Bambali, quand nous étions jeunes, nos journées se partageaient entre l’école et les champs. Devenir enseignant était un rêve familial. J’aurais même pu être imam”, a-t-il révélé.
Ces confidences ont été faites lors d’un entretien en wolof diffusé par les équipes de communication de la Fédération sénégalaise de football (FSF) sur les réseaux sociaux. L’attaquant d’Al-Nasr, actuellement en regroupement avec la sélection nationale, prépare la dernière journée des éliminatoires du Mondial 2026, prévue mardi face à la Mauritanie au stade Maître Abdoulaye Wade.
Leader du groupe B avec 21 points, le Sénégal n’a besoin que d’un nul pour valider sa qualification.
Évoquant son tempérament, Mané se définit comme un “plaisantin”, précisant que, malgré son image de joueur “cool et poli”, il aime les moments de rigolade, surtout avec ses proches. Il a aussi confié qu’il aurait aimé devenir enseignant s’il n’avait pas embrassé une carrière footballistique.
“Ma mère voulait que je sois assidu à l’école. À Bambali, quand nous étions jeunes, nos journées se partageaient entre l’école et les champs. Devenir enseignant était un rêve familial. J’aurais même pu être imam”, a-t-il révélé.