Le procès de Ndella Madior Diouf, propriétaire de la pouponnière Keur Yeurmandé, annoncé ce mardi, aura finalement lieu, le vendredi 14 novembre 2025, devant la Chambre criminelle du Tribunal de Grande instance de Dakar. Il s'agira d'une audience d'interrogatoire d'accusé, selon son avocat, Me Aboubacry Barro.
Joint par "PressAfrik", la robe noire a apporté des précisions sur la procédure : "Avant de juger la question, il faut procéder à ce qu'on appelle l'audience d'interrogatoire d'accusé pour confirmer que c'est l'accusé qui est là . Après, on lui notifie la date du jugement, prévue entre 5 ou 7 jours après l'identification".
Pour rappel, Ndella Madior Diouf, en détention depuis le 28 décembre 2023, est poursuivie pour une série de délits graves, notamment : "traite de personnes, exercice illégal de la médecine, privation d’aliments ou de soins ayant entraîné la mort d’un mineur et mise en danger de la vie d’autrui, non-assistance à une personne en danger, obtention illégale de certificats d’inhumation".
Cette affaire avait fait un grand bruit. Pour cause, six bébés avaient perdu la vie dans des circonstances troubles au sein de la pouponnière, rappelle "PressAfrik".
Face à la gravité des charges, toutes les demandes de mise en liberté provisoire ont été rejetées par le Doyen des juges.
Joint par "PressAfrik", la robe noire a apporté des précisions sur la procédure : "Avant de juger la question, il faut procéder à ce qu'on appelle l'audience d'interrogatoire d'accusé pour confirmer que c'est l'accusé qui est là . Après, on lui notifie la date du jugement, prévue entre 5 ou 7 jours après l'identification".
Pour rappel, Ndella Madior Diouf, en détention depuis le 28 décembre 2023, est poursuivie pour une série de délits graves, notamment : "traite de personnes, exercice illégal de la médecine, privation d’aliments ou de soins ayant entraîné la mort d’un mineur et mise en danger de la vie d’autrui, non-assistance à une personne en danger, obtention illégale de certificats d’inhumation".
Cette affaire avait fait un grand bruit. Pour cause, six bébés avaient perdu la vie dans des circonstances troubles au sein de la pouponnière, rappelle "PressAfrik".
Face à la gravité des charges, toutes les demandes de mise en liberté provisoire ont été rejetées par le Doyen des juges.







