Installé depuis plusieurs années entre Ajaccio et Bastia, Mouhamed Gueye était connu au sein de la communauté comme un jeune discret, respectueux et investi dans le travail. Plusieurs compatriotes sénégalais, restaurateurs et employés du secteur des services, témoignent unanimement d’un comportement irréprochable.
« C’était un garçon poli, posé, qui ne cherchait pas de problèmes. On le voyait travailler, rentrer chez lui, rien d’autre», confie un membre de la communauté sénégalaise d’Ajaccio.
Un parcours marqué par l’effort et l’ambition
Arrivé jeune en Corse, Mouhamed Gueye nourrissait le projet de poursuivre des études en informatique et de s’insérer durablement dans la société. Selon ses proches, il cumulait périodes de travail et projets de formation, tout en aidant sa famille restée au Sénégal.
Son père, enseignant au Sénégal, affirme n’avoir jamais observé de signes de violence ou de radicalité chez son fils.
« Je veux comprendre ce qui s’est passé, sans esprit de vengeance. Je cherche la vérité», a-t-il déclaré.
Une hospitalisation psychiatrique confirmée
Entre janvier et mars 2025, Mouhamed Guèye aurait été interné dans un hôpital psychiatrique à Paris. Une information confirmée par son père, qui assure toutefois ignorer les raisons exactes de cette prise en charge médicale.
Plusieurs observateurs appellent à la prudence face aux amalgames rapides, soulignant la nécessité de respecter la présomption d’innocence et de prendre en compte les enjeux de santé mentale.
Un débat plus large sur précarité et santé mentale
L’affaire relance le débat sur la prise en charge des jeunes migrants, la précarité sociale et l’accès aux soins psychologiques. Des responsables associatifs estiment que l’incurie des politiques de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale, contribue à des drames humains évitables.
« Les prisons deviennent parfois des hôpitaux psychiatriques déguisés », alerte un responsable associatif en France.
La communauté sénégalaise de Corse appelle aujourd’hui à la retenue, à la dignité et à une lecture humaine et responsable des faits.
« C’était un garçon poli, posé, qui ne cherchait pas de problèmes. On le voyait travailler, rentrer chez lui, rien d’autre», confie un membre de la communauté sénégalaise d’Ajaccio.
Un parcours marqué par l’effort et l’ambition
Arrivé jeune en Corse, Mouhamed Gueye nourrissait le projet de poursuivre des études en informatique et de s’insérer durablement dans la société. Selon ses proches, il cumulait périodes de travail et projets de formation, tout en aidant sa famille restée au Sénégal.
Son père, enseignant au Sénégal, affirme n’avoir jamais observé de signes de violence ou de radicalité chez son fils.
« Je veux comprendre ce qui s’est passé, sans esprit de vengeance. Je cherche la vérité», a-t-il déclaré.
Une hospitalisation psychiatrique confirmée
Entre janvier et mars 2025, Mouhamed Guèye aurait été interné dans un hôpital psychiatrique à Paris. Une information confirmée par son père, qui assure toutefois ignorer les raisons exactes de cette prise en charge médicale.
Plusieurs observateurs appellent à la prudence face aux amalgames rapides, soulignant la nécessité de respecter la présomption d’innocence et de prendre en compte les enjeux de santé mentale.
Un débat plus large sur précarité et santé mentale
L’affaire relance le débat sur la prise en charge des jeunes migrants, la précarité sociale et l’accès aux soins psychologiques. Des responsables associatifs estiment que l’incurie des politiques de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale, contribue à des drames humains évitables.
« Les prisons deviennent parfois des hôpitaux psychiatriques déguisés », alerte un responsable associatif en France.
La communauté sénégalaise de Corse appelle aujourd’hui à la retenue, à la dignité et à une lecture humaine et responsable des faits.







