Le journaliste René Capain Bassène, cerveau présumé du massacre de Boffa (Niassya), a été entendu hier par le juge d’instruction du Tribunal de Grande instance de Ziguinchor.
L’audition s’est déroulée à l’Inspection Régionale de l’Administration Pénitentiaire de Ziguinchor, selon son frère Nicolas S. Bassène, qui regrette « l’absence de ses avocats ». Cette audition devait permettre selon ses dires, aux conseils du mis en cause de déposer une demande de liberté provisoire.
Convaincu de son innocence, Nicolas Bassène réclame la tenue dans les brefs délais, du procès pour faire éclater la vérité dans cette affaire.
Pour mémoire, la gendarmerie sénégalaise a arrêté 22 personnes dont le journaliste René Campain Bassène, dans l’enquête sur le massacre de 14 coupeurs de bois en Casamance, région forestière du sud du Sénégal. La tuerie a été perpétrée le 6 janvier dans la forêt protégée de Boffa-Bayottes, proche de Ziguinchor.
L’audition s’est déroulée à l’Inspection Régionale de l’Administration Pénitentiaire de Ziguinchor, selon son frère Nicolas S. Bassène, qui regrette « l’absence de ses avocats ». Cette audition devait permettre selon ses dires, aux conseils du mis en cause de déposer une demande de liberté provisoire.
Convaincu de son innocence, Nicolas Bassène réclame la tenue dans les brefs délais, du procès pour faire éclater la vérité dans cette affaire.
Pour mémoire, la gendarmerie sénégalaise a arrêté 22 personnes dont le journaliste René Campain Bassène, dans l’enquête sur le massacre de 14 coupeurs de bois en Casamance, région forestière du sud du Sénégal. La tuerie a été perpétrée le 6 janvier dans la forêt protégée de Boffa-Bayottes, proche de Ziguinchor.
