La Communauté internationale a reconnu que la lutte contre la corruption est vitale pour soutenir la stabilité et la croissance économiques et réduire la pauvreté. Environ 80 hauts fonctionnaires, experts techniques et représentants de la société civile, du secteur privé et des partenaires au développement d’Afrique francophone se sont réunis à Dakar pour lancer la dernière plateforme régionale de lutte contre la corruption du Bureau des Nations Unies sur les drogues et le crime (Onudc).
Selon la chef du Département de la corruption et de la criminalité économique, Brigitte Strobel- Shaw, «l’objectif global de ces plateformes est de tirer parti des compétences et des connaissances régionales pour concevoir des réformes concrètes contre la corruption. Cela conduit à son tour à la génération d’initiatives régionales», décline-t-elle dans un communiqué.
Cette dernière plateforme vise à aider le Burkina Faso, le Tchad, la Côte d’Ivoire, la Mauritanie, le Niger et le Sénégal à identifier les lacunes dans les connaissances et les bonnes pratiques et à promouvoir la collaboration avec les entités de la région pour relever les défis communs. Comprenant que la corruption, le blanchiment d’argent et la criminalité financière sont des menaces communes à la sécurité, la plateforme est également conçue pour approfondir la coopération régionale et renforcer la réponse collective à ces menaces.
Cette sixième plateforme se concentre sur quatre domaines thématiques identifiés par les pays eux-mêmes comme des priorités régionales. Il s’agit des enquêtes financières, de la protection des lanceurs d’alerte, des systèmes d’intégrité et du recouvrement des avoirs. Ils ont été discutés par les pays participants au cours des deux premiers jours du lancement de la plateforme, afin de convenir d’un programme de travail et d’activités pour les années à venir.
Ces recommandations ont été présentées à toutes les parties prenantes, qui se mettront d’accord sur un ensemble d’engagements à mettre en œuvre comme feuille de route de la plateforme régionale.
Bes Bi
Selon la chef du Département de la corruption et de la criminalité économique, Brigitte Strobel- Shaw, «l’objectif global de ces plateformes est de tirer parti des compétences et des connaissances régionales pour concevoir des réformes concrètes contre la corruption. Cela conduit à son tour à la génération d’initiatives régionales», décline-t-elle dans un communiqué.
Cette dernière plateforme vise à aider le Burkina Faso, le Tchad, la Côte d’Ivoire, la Mauritanie, le Niger et le Sénégal à identifier les lacunes dans les connaissances et les bonnes pratiques et à promouvoir la collaboration avec les entités de la région pour relever les défis communs. Comprenant que la corruption, le blanchiment d’argent et la criminalité financière sont des menaces communes à la sécurité, la plateforme est également conçue pour approfondir la coopération régionale et renforcer la réponse collective à ces menaces.
Cette sixième plateforme se concentre sur quatre domaines thématiques identifiés par les pays eux-mêmes comme des priorités régionales. Il s’agit des enquêtes financières, de la protection des lanceurs d’alerte, des systèmes d’intégrité et du recouvrement des avoirs. Ils ont été discutés par les pays participants au cours des deux premiers jours du lancement de la plateforme, afin de convenir d’un programme de travail et d’activités pour les années à venir.
Ces recommandations ont été présentées à toutes les parties prenantes, qui se mettront d’accord sur un ensemble d’engagements à mettre en œuvre comme feuille de route de la plateforme régionale.
Bes Bi