
Pourtant, un an après l’entrée en vigueur de l’instruction n°01-01-2024, la majorité des dossiers déposés par les fintechs attendent encore un traitement de la Banque Centrale. En réponse à cette lenteur administrative, la BCEAO a ordonné, sans préavis, la suspension des activités des EDP non agréés. Résultat : un blocage brutal qui paralyse salaires, ventes en ligne, et flux commerciaux.
Des entreprises historiques, parfois actives depuis plus de dix ans, sont aujourd’hui à l’arrêt. Des milliards de francs CFA en transactions sont bloqués, et la confiance envers les autorités de régulation vacille.
Alors que seule une poignée d’acteurs disposant du statut d’Émetteur de Monnaie Électronique continue à fonctionner, c’est tout un pan de l’économie informelle et de l’inclusion financière qui se trouve menacé.
Pourquoi ce silence de la BCEAO ? Comment peut-on suspendre un secteur entier sans cadre transitoire, sans plan d’accompagnement, sans communication claire ?
L’avenir des services digitaux dans l’UEMOA est en suspens. Et avec lui, celui de millions de citoyens dépendant de ces outils pour leur quotidien.
Des entreprises historiques, parfois actives depuis plus de dix ans, sont aujourd’hui à l’arrêt. Des milliards de francs CFA en transactions sont bloqués, et la confiance envers les autorités de régulation vacille.
Alors que seule une poignée d’acteurs disposant du statut d’Émetteur de Monnaie Électronique continue à fonctionner, c’est tout un pan de l’économie informelle et de l’inclusion financière qui se trouve menacé.
Pourquoi ce silence de la BCEAO ? Comment peut-on suspendre un secteur entier sans cadre transitoire, sans plan d’accompagnement, sans communication claire ?
L’avenir des services digitaux dans l’UEMOA est en suspens. Et avec lui, celui de millions de citoyens dépendant de ces outils pour leur quotidien.