Genève, le 3 mai 2025 – Le Front Résistance de la Diaspora Sénégalaise (FRDS) a marqué un tournant décisif hier soir à Genève à travers une manifestation citoyenne d’envergure, répondant à ce que l’organisation a baptisé l’Appel de Genève.
Cette marche symbolique et pacifique, partie du Palais Wilson pour rallier le Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme, a rassemblé des membres de la diaspora sénégalaise venus exprimer leur vive inquiétude face aux dérives autoritaires du nouveau régime dirigé par le Président Bassirou Diomaye Faye et le Premier ministre Ousmane Sonko.
L’objectif de cette mobilisation était clair : dénoncer les velléités du régime Diomaye-SONKO de restreindre les libertés fondamentales, individuelles comme collectives, par une série de mesures alarmantes observées depuis leur accession au pouvoir.
Arrestations massives pour délit d’opinion, intimidations ciblées, tentatives de musellement de la presse indépendante par la fermeture brutale de centaines de chaînes en ligne, sans oublier l’asphyxie économique des maisons de presse à travers une pression fiscale instrumentalisée et une dilatoire, devenue endémique, sur le paiement des conventions déjà exécutées – autant de signaux inquiétants qui témoignent d’un glissement autoritaire en cours au Sénégal.
Le choix de Genève pour ce premier jalon d’une série de mobilisations futures n’est pas anodin.
C’est dans la ville de l’illustre Citoyen de Genève Jean-Jacques Rousseau, penseur emblématique du ‘‘Contrat Social’’ (1762), et pilier de la pensée démocratique moderne, que les membres du FRDS ont tenu à rappeler l’importance de l’État de droit, des libertés publiques et du pluralisme d’opinion, valeurs aujourd’hui mises à mal dans leur pays d’origine.
Le FRDS appelle la communauté internationale, les instances onusiennes, ainsi que toutes les forces démocratiques à se mobiliser aux côtés du peuple sénégalais, pour que la promesse démocratique faite au lendemain des élections présidentielles de 2024 ne se transforme pas en un nouveau cycle d'oppression.
La vigilance démocratique ne connaît pas de frontières. L’Appel de Genève n’est que le début d’une mobilisation citoyenne déterminée et transnationale pour la sauvegarde des libertés au Sénégal.
Cette marche symbolique et pacifique, partie du Palais Wilson pour rallier le Haut-Commissariat des Nations Unies aux Droits de l’Homme, a rassemblé des membres de la diaspora sénégalaise venus exprimer leur vive inquiétude face aux dérives autoritaires du nouveau régime dirigé par le Président Bassirou Diomaye Faye et le Premier ministre Ousmane Sonko.
L’objectif de cette mobilisation était clair : dénoncer les velléités du régime Diomaye-SONKO de restreindre les libertés fondamentales, individuelles comme collectives, par une série de mesures alarmantes observées depuis leur accession au pouvoir.
Arrestations massives pour délit d’opinion, intimidations ciblées, tentatives de musellement de la presse indépendante par la fermeture brutale de centaines de chaînes en ligne, sans oublier l’asphyxie économique des maisons de presse à travers une pression fiscale instrumentalisée et une dilatoire, devenue endémique, sur le paiement des conventions déjà exécutées – autant de signaux inquiétants qui témoignent d’un glissement autoritaire en cours au Sénégal.
Le choix de Genève pour ce premier jalon d’une série de mobilisations futures n’est pas anodin.
C’est dans la ville de l’illustre Citoyen de Genève Jean-Jacques Rousseau, penseur emblématique du ‘‘Contrat Social’’ (1762), et pilier de la pensée démocratique moderne, que les membres du FRDS ont tenu à rappeler l’importance de l’État de droit, des libertés publiques et du pluralisme d’opinion, valeurs aujourd’hui mises à mal dans leur pays d’origine.
Le FRDS appelle la communauté internationale, les instances onusiennes, ainsi que toutes les forces démocratiques à se mobiliser aux côtés du peuple sénégalais, pour que la promesse démocratique faite au lendemain des élections présidentielles de 2024 ne se transforme pas en un nouveau cycle d'oppression.
La vigilance démocratique ne connaît pas de frontières. L’Appel de Genève n’est que le début d’une mobilisation citoyenne déterminée et transnationale pour la sauvegarde des libertés au Sénégal.