Toujours au front pour donner la bonne information, les journalistes sont en danger avec le variant Delta qui est beaucoup plus contagieux et plus mortel que le virus initial. C’est dans ce sens que l’Union africaine de radiodiffusion (Uar) a organisé une session de formation pour les journalistes africains.
Le directeur général de l’Union africaine de radiodiffusion, Grégoire Ndjaka, estime qu’il faut dire que depuis le début de cette pandémie, la presse en général a payé un lourd tribut à cette pandémie.
«Dans presque toutes les rédactions à travers le continent, nous avons vu partir beaucoup de nos collègues ; il est temps pour nous de réfléchir à cette situation qui est un véritable désastre pour notre profession», souligne-t-il.
A l’en croire, l’atelier a pour objectif d’informer les journalistes qui sont au fond, parce qu’après les médecins, ce sont eux qui rendent comptent au quotidien de la gravité de la situation, «et il est question de les protéger pour leur donner l’opportunité d’aider les autres à se protéger à travers leurs reportages et émissions respectives », prône-t-il.
L’As
Le directeur général de l’Union africaine de radiodiffusion, Grégoire Ndjaka, estime qu’il faut dire que depuis le début de cette pandémie, la presse en général a payé un lourd tribut à cette pandémie.
«Dans presque toutes les rédactions à travers le continent, nous avons vu partir beaucoup de nos collègues ; il est temps pour nous de réfléchir à cette situation qui est un véritable désastre pour notre profession», souligne-t-il.
A l’en croire, l’atelier a pour objectif d’informer les journalistes qui sont au fond, parce qu’après les médecins, ce sont eux qui rendent comptent au quotidien de la gravité de la situation, «et il est question de les protéger pour leur donner l’opportunité d’aider les autres à se protéger à travers leurs reportages et émissions respectives », prône-t-il.
L’As