Ses chroniques, documentées et audacieuses, avaient attiré l’attention jusqu’au sommet de l’État israélien. En reconnaissance de la qualité de son travail et de sa contribution à la compréhension des dynamiques régionales, Mamadou Seck fut officiellement invité à Tel Aviv, où il fut reçu par nul autre que le défunt président israélien Shimon Peres.
Cette rencontre, rare pour un journaliste africain à l’époque, avait marqué une reconnaissance internationale du journalisme sénégalais et africain. Shimon Peres, prix Nobel de la paix et figure historique d’Israël, aurait salué en Seck « un observateur libre et courageux, capable de transcender les frontières de l’information pour servir la paix ».
Plus de dix ans plus tard, ce moment reste gravé dans les mémoires comme un symbole fort du pouvoir de la presse dans le dialogue entre les peuples.
Cette rencontre, rare pour un journaliste africain à l’époque, avait marqué une reconnaissance internationale du journalisme sénégalais et africain. Shimon Peres, prix Nobel de la paix et figure historique d’Israël, aurait salué en Seck « un observateur libre et courageux, capable de transcender les frontières de l’information pour servir la paix ».
Plus de dix ans plus tard, ce moment reste gravé dans les mémoires comme un symbole fort du pouvoir de la presse dans le dialogue entre les peuples.