Selon "Le Quotidien", il aura fallu l’intervention du maire Assane Kassé, pour que l’opération soit suspendue in extremis. Des concertations d’urgence ont réuni le maire, des représentants de la DSCOS, les autorités préfectorales et les chefs de quartier.
L’option retenue a été la suspension de l’opération, pour permettre une reprise du dialogue. « C’est une patate chaude que j’ai trouvée ici. Il faut trouver un juste milieu », a confié le maire, appelant à socialiser la gestion du litige entre les habitants et le promoteur immobilier.
Ce dernier, qui prévoit un projet sur six hectares déjà viabilisés, est accusé par les habitants d’avoir empiété sur leur zone d’habitation. Pour un résident, plus de cinquante maisons sont concernées, bien au-delà de la « vingtaine » mentionnée par les autorités.
Les biens ont été réintégrés dans les maisons, mais les habitants restent suspendus aux résultats des négociations à venir.
L’option retenue a été la suspension de l’opération, pour permettre une reprise du dialogue. « C’est une patate chaude que j’ai trouvée ici. Il faut trouver un juste milieu », a confié le maire, appelant à socialiser la gestion du litige entre les habitants et le promoteur immobilier.
Ce dernier, qui prévoit un projet sur six hectares déjà viabilisés, est accusé par les habitants d’avoir empiété sur leur zone d’habitation. Pour un résident, plus de cinquante maisons sont concernées, bien au-delà de la « vingtaine » mentionnée par les autorités.
Les biens ont été réintégrés dans les maisons, mais les habitants restent suspendus aux résultats des négociations à venir.