Le 17 mai 2025, la Cour de justice de la CEDEAO a rejeté la requête de Khalifa Ababacar Sall et huit autres opposants sénégalais, qui contestaient la légalité des décrets présidentiels de septembre 2024, ayant conduit à la dissolution de l’Assemblée nationale et à l’organisation d’élections législatives anticipées.
La Cour a estimé qu’aucune violation des droits civils et politiques des requérants n’avait été établie. Bien qu’elle ait reconnu sa compétence pour statuer sur le dossier et déclaré la requête recevable, elle a jugé infondées les accusations formulées par les opposants.
La décision confirme la légalité des actes pris par l’exécutif sénégalais dans ce contexte.
La Cour a estimé qu’aucune violation des droits civils et politiques des requérants n’avait été établie. Bien qu’elle ait reconnu sa compétence pour statuer sur le dossier et déclaré la requête recevable, elle a jugé infondées les accusations formulées par les opposants.
La décision confirme la légalité des actes pris par l’exécutif sénégalais dans ce contexte.