gouvernement du Sénégal a lancé le 1er août 2025, le Plan de redressement économique et social (Pres). Le premier mois de mise en œuvre de ce programme arrimé à l’Agenda 2025, est octobre. Au terme de ce mois, les impacts se font ressentir.
En effet, les recettes fiscales ont atteint 303,5 milliards FCfa en 30 jours. Cela représente une hausse significative de 9% par rapport à septembre 2025, et de 16% par rapport à octobre 2024. Ces recettes fiscales sont boostées notamment, par les plus-values provenant notamment de la taxation des jeux d’argent, du tabac, des produits alcoolisés, des smartphones et des paiements en numéraire qui ont commencé à contribuer.
Ces performances à la fin de l’année,, devraient bondir avec une hausse de plus de 24% des recettes fiscales sur les deux derniers mois de l’année par rapport à novembre et décembre 2024. Le 20 novembre dernier, lors de la réunion du Comité chargé de la mise en œuvre des mesures du Plan de redressement économique et social (Pres), le Premier ministre Ousmane Sonko, avait réaffirmé l’ambition de réorienter l’économie, de renforcer la souveraineté nationale et de promouvoir l’équité sociale.
Aux yeux du chef du gouvernement, les résultats obtenus à ce stade, « permettront une meilleure prise en charge des attentes des Sénégalais », grâce à une mobilisation des ressources domestiques, à la rationalisation des dépenses publiques et à une réforme structurelle. Ce qui va rapporter, par exemple, 130 milliards FCfa.
Sur la base de l’ensemble des projections minorées de cette initiative, plus de 5.600 milliards FCfa de ressources sont espérés à l’horizon 2028. Les 2.111 milliards FCfa proviendront des ressources domestiques additionnelles, 1091 milliards FCfa du recyclage d’actifs. Les retombées de la réduction de la taille de l’État, sont estimées à 50 milliards FCfa. Quant au financement endogène complémentaire hors endettement, il produira 1,352 milliard FCfa.
En effet, les recettes fiscales ont atteint 303,5 milliards FCfa en 30 jours. Cela représente une hausse significative de 9% par rapport à septembre 2025, et de 16% par rapport à octobre 2024. Ces recettes fiscales sont boostées notamment, par les plus-values provenant notamment de la taxation des jeux d’argent, du tabac, des produits alcoolisés, des smartphones et des paiements en numéraire qui ont commencé à contribuer.
Ces performances à la fin de l’année,, devraient bondir avec une hausse de plus de 24% des recettes fiscales sur les deux derniers mois de l’année par rapport à novembre et décembre 2024. Le 20 novembre dernier, lors de la réunion du Comité chargé de la mise en œuvre des mesures du Plan de redressement économique et social (Pres), le Premier ministre Ousmane Sonko, avait réaffirmé l’ambition de réorienter l’économie, de renforcer la souveraineté nationale et de promouvoir l’équité sociale.
Aux yeux du chef du gouvernement, les résultats obtenus à ce stade, « permettront une meilleure prise en charge des attentes des Sénégalais », grâce à une mobilisation des ressources domestiques, à la rationalisation des dépenses publiques et à une réforme structurelle. Ce qui va rapporter, par exemple, 130 milliards FCfa.
Sur la base de l’ensemble des projections minorées de cette initiative, plus de 5.600 milliards FCfa de ressources sont espérés à l’horizon 2028. Les 2.111 milliards FCfa proviendront des ressources domestiques additionnelles, 1091 milliards FCfa du recyclage d’actifs. Les retombées de la réduction de la taille de l’État, sont estimées à 50 milliards FCfa. Quant au financement endogène complémentaire hors endettement, il produira 1,352 milliard FCfa.







