
Nous continuerons donc dans cette lancée consistant à alerter toutes les institutions internationales soucieuses du droit des citoyenns sénégalais à vivre libre et à porter des opinions sur la gouvernance de leur pays sans risquer cette violence de l’Eat qui menace et emprisonne à tour de bras toute veilleité de contrarier les dérives et violences auxquelles nous assitons au quotidien.
La violence est d’abord psychique, c’est celle exercée sur les citoyens qui sont renvoyés de leur travail pour délit de proximité au régime sortant (ils sont estimés à plus de 30000 citoyens) et sytématiquement remplacés par des gens fidèles au régime actuels. Elle se manifeste aussi dans les salaires, honoraires ou dettes privées impayées et motive par exemple cette lettre ouverte au Président de la République et concernant des policiers de la 49ème promotion qui n’ont plus touché de salaires depuis 20 mois maintenant.
L’autre violence est celle qui conduit au quotidien à l’arrestation sytématique des opposants et à la restriction des sorties du territoire des citoyen de l’ancien régime, ou simplement des citoyens opposés au aux idéaux politiques du nouveau régime et souhaitant voyager. Nous devons rappeler que la constitution sénégalaise cansacre le droit fondamentale des citoyens à circuler dans le strcite respect des lois et réglements et qu’on ne peut plus continuer de restreindre ou interdire la circulation des personnes sans aucun fondement juridique.
Le FRDS se réjouit du rendez vous qui lui ai fixé par le responsable Afrique d’Amnesty international à Paris ce lundi 13 Octobre à 16h et sait d’avance pouvoir compter sur une écoute bienveillante pour que l’interface d’Amnesty International au Sénégal dévie de cette trajectoire d’appui et de soutien à un pouvoir violent, répressif et arbitraire.
La résistance du Front de Résistance de la Diaspora Sénégalaise et de la majorité des organisations des sénégalais de la diaspora continuera à s’exercer partout ou besoin sera pour mettre un terme à la tendance dictatoriale du régime en place au Sénégal, et effacer toute vélléité de dénaturer la démocratie, l’état de droit et les bons principes de la charte des droits de l’homme et du citoyen.
Fait à Paris le 07 Octobre 2025
Pour le FRDS
La Présidente
Fatou Mahine NDIAYE
La violence est d’abord psychique, c’est celle exercée sur les citoyens qui sont renvoyés de leur travail pour délit de proximité au régime sortant (ils sont estimés à plus de 30000 citoyens) et sytématiquement remplacés par des gens fidèles au régime actuels. Elle se manifeste aussi dans les salaires, honoraires ou dettes privées impayées et motive par exemple cette lettre ouverte au Président de la République et concernant des policiers de la 49ème promotion qui n’ont plus touché de salaires depuis 20 mois maintenant.
L’autre violence est celle qui conduit au quotidien à l’arrestation sytématique des opposants et à la restriction des sorties du territoire des citoyen de l’ancien régime, ou simplement des citoyens opposés au aux idéaux politiques du nouveau régime et souhaitant voyager. Nous devons rappeler que la constitution sénégalaise cansacre le droit fondamentale des citoyens à circuler dans le strcite respect des lois et réglements et qu’on ne peut plus continuer de restreindre ou interdire la circulation des personnes sans aucun fondement juridique.
Le FRDS se réjouit du rendez vous qui lui ai fixé par le responsable Afrique d’Amnesty international à Paris ce lundi 13 Octobre à 16h et sait d’avance pouvoir compter sur une écoute bienveillante pour que l’interface d’Amnesty International au Sénégal dévie de cette trajectoire d’appui et de soutien à un pouvoir violent, répressif et arbitraire.
La résistance du Front de Résistance de la Diaspora Sénégalaise et de la majorité des organisations des sénégalais de la diaspora continuera à s’exercer partout ou besoin sera pour mettre un terme à la tendance dictatoriale du régime en place au Sénégal, et effacer toute vélléité de dénaturer la démocratie, l’état de droit et les bons principes de la charte des droits de l’homme et du citoyen.
Fait à Paris le 07 Octobre 2025
Pour le FRDS
La Présidente
Fatou Mahine NDIAYE