Le Front pour la Démocratie et la République (FDR) a rendu publique, une déclaration concernant la situation actuelle dans les universités sénégalaises, qui sont confrontées depuis plusieurs jours, à des mouvements de contestation étudiante et à des interventions des forces de l’ordre. D’après le FDR, les étudiants, particulièrement ceux de Master, revendiquent le versement de leurs bourses impayées, une demande que le Front juge légitime, rapporte "L'As".
Le gouvernement PASTEF est, selon la déclaration, incapable d’apporter une solution satisfaisante, ce qui expose le pays à une dégradation potentielle de la situation, si des mesures concrètes ne sont pas adoptées promptement. Le FDR impute le blocage des institutions universitaires aux effets de la crise financière, qu’il lie à ce qu’il qualifie de « dette dissimulée », dénonçant un « discours irresponsable » ayant de graves répercussions sur l’enseignement supérieur, souligne le journal.
Le Front estime que le Premier ministre devra s’expliquer sur cette conjoncture, qu’il juge susceptible de générer des dommages encore plus importants que ceux observés actuellement. Tout en exprimant un appui inconditionnel aux demandes étudiantes, le FDR exhorte les étudiants à s’abstenir de toute violence et à privilégier des modes d’action pacifiques, afin de rallier l’opinion publique à leurs revendications.
Le Front sollicite également du gouvernement, qu’il mette fin aux interventions policières et aux communications trompeuses, qui ne feraient qu’exacerber la crise. Il appelle instamment à l’ouverture immédiate de concertations sérieuses avec les étudiants et leurs organisations, afin de dégager des solutions propices à la décrispation du milieu universitaire.
Le gouvernement PASTEF est, selon la déclaration, incapable d’apporter une solution satisfaisante, ce qui expose le pays à une dégradation potentielle de la situation, si des mesures concrètes ne sont pas adoptées promptement. Le FDR impute le blocage des institutions universitaires aux effets de la crise financière, qu’il lie à ce qu’il qualifie de « dette dissimulée », dénonçant un « discours irresponsable » ayant de graves répercussions sur l’enseignement supérieur, souligne le journal.
Le Front estime que le Premier ministre devra s’expliquer sur cette conjoncture, qu’il juge susceptible de générer des dommages encore plus importants que ceux observés actuellement. Tout en exprimant un appui inconditionnel aux demandes étudiantes, le FDR exhorte les étudiants à s’abstenir de toute violence et à privilégier des modes d’action pacifiques, afin de rallier l’opinion publique à leurs revendications.
Le Front sollicite également du gouvernement, qu’il mette fin aux interventions policières et aux communications trompeuses, qui ne feraient qu’exacerber la crise. Il appelle instamment à l’ouverture immédiate de concertations sérieuses avec les étudiants et leurs organisations, afin de dégager des solutions propices à la décrispation du milieu universitaire.








