« Un campus plus sain et beaucoup plus pluviale ». C’est ce que veut le ministre de l’Urbanisme, Abdou Karim Fofana qui salue la journée du cleaning-Day lancée par le chef de l’Etat.
« Ce 4 janvier 2020, doit rester, un jour, inoubliable à l’Ucad. Un moment inédit parce que des étudiants de sensibilités politiques différentes, ont mené ensemble de leur propre gré, des actions communes de nettement de l’université », s’est félicité le ministre.
Abdou Karim Fofana de magnifier l’initiative du chef de l’Etat : « C’est un acte très fort pour le futur, car le président de la République a lancé un message très fort aux jeunes du Sénégal. Il nous a lancés un défi le futur ».
Selon lui, « Si nous ne savons pas gérer, ensemble notre espace public, collaborer pour l’essentiel, même le pétrole et le gaz ne serviront à rien. C’est la raison pour laquelle, il nous faut changer de comportement pour le bien public ».
Par ailleurs, il encourage tous les étudiants à s'y mettre pour, dit-il, le bien public : « Au-delà de la politique, vous êtes conscients des enjeux de notre génération. Nous ne devons plus accepter qu'on nous cite des pays qui soient plus propre que le nôtre».
« Ce 4 janvier 2020, doit rester, un jour, inoubliable à l’Ucad. Un moment inédit parce que des étudiants de sensibilités politiques différentes, ont mené ensemble de leur propre gré, des actions communes de nettement de l’université », s’est félicité le ministre.
Abdou Karim Fofana de magnifier l’initiative du chef de l’Etat : « C’est un acte très fort pour le futur, car le président de la République a lancé un message très fort aux jeunes du Sénégal. Il nous a lancés un défi le futur ».
Selon lui, « Si nous ne savons pas gérer, ensemble notre espace public, collaborer pour l’essentiel, même le pétrole et le gaz ne serviront à rien. C’est la raison pour laquelle, il nous faut changer de comportement pour le bien public ».
Par ailleurs, il encourage tous les étudiants à s'y mettre pour, dit-il, le bien public : « Au-delà de la politique, vous êtes conscients des enjeux de notre génération. Nous ne devons plus accepter qu'on nous cite des pays qui soient plus propre que le nôtre».