Ces logements, proposés par Physalis (société commerciale) et SRT (chargée des travaux et partenaire de la Caisse des Dépôts et Consignations), étaient destinés à offrir un toit à de nombreuses familles. Mais le rêve s’est brisé.
Le collectif dénonce :
Des villas inachevées ou mal finies
Des paiements complets (18 Ã 65 millions FCFA) sans livraison
Des paiements suspendus faute de respect des engagements contractuels
Le 6 août dernier, lors de l’émission Débat de Fond sur 2sTV, le Directeur général de la CDC, M. Fadilou Keïta, a déclaré que les acquéreurs seraient rassurés à la suite d’une rencontre avec les DG de CDC Habitat.
Mais selon le collectif, rien n’a changé :
Aucune date ferme de livraison
Aucun échéancier de remboursement
Aucune solution claire pour ceux ayant suspendu les paiements
Au-delà des maisons, c’est la vie entière de familles qui est bouleversée. Prêts bancaires, loyers cumulés, projets de retour au pays pour la diaspora… Tout est en suspens.
« Nous ne demandons pas des faveurs, nous exigeons le respect de nos droits », martèle Papa Atou Diaw Jr., porte-parole et victime.
Le collectif annonce qu’il poursuivra ses démarches jusqu’à obtenir satisfaction.
Papa Atou Diaw Jr., victime – Pour le collectif des acquéreurs de la Cité CDC Bambilor
Le collectif dénonce :
Des villas inachevées ou mal finies
Des paiements complets (18 Ã 65 millions FCFA) sans livraison
Des paiements suspendus faute de respect des engagements contractuels
Le 6 août dernier, lors de l’émission Débat de Fond sur 2sTV, le Directeur général de la CDC, M. Fadilou Keïta, a déclaré que les acquéreurs seraient rassurés à la suite d’une rencontre avec les DG de CDC Habitat.
Mais selon le collectif, rien n’a changé :
Aucune date ferme de livraison
Aucun échéancier de remboursement
Aucune solution claire pour ceux ayant suspendu les paiements
Au-delà des maisons, c’est la vie entière de familles qui est bouleversée. Prêts bancaires, loyers cumulés, projets de retour au pays pour la diaspora… Tout est en suspens.
« Nous ne demandons pas des faveurs, nous exigeons le respect de nos droits », martèle Papa Atou Diaw Jr., porte-parole et victime.
Le collectif annonce qu’il poursuivra ses démarches jusqu’à obtenir satisfaction.
Papa Atou Diaw Jr., victime – Pour le collectif des acquéreurs de la Cité CDC Bambilor