Selon Le Soleil, cette retraite présidentielle a pris la forme d’une immersion rythmée par des rencontres et des échanges directs avec les communautés locales, dans un décor naturel aussi riche que fragile. Le président a opté pour un séjour discret, loin du faste protocolaire, privilégiant la simplicité, la spontanéité et l’authenticité.
S’il avait tout d’un moment introspectif, ce déplacement revêtait également une portée touristique et symbolique. Le journal national présente d’ailleurs Bassirou Diomaye Faye comme un véritable ambassadeur du tourisme interne. La première étape fut la réserve naturelle de Fathala, entre Toubacouta et la frontière gambienne. Dans cette savane protégée, le président a marché aux côtés de lions, image forte d’un dialogue avec la nature.
Le voyage a ensuite pris un accent agricole. Dans un champ de mil, le chef de l’État a marqué une pause. Un geste simple, mais lourd de sens, que Le Soleil interprète comme un retour à ses origines paysannes. Pour lui, l’agriculture dépasse la dimension économique : elle incarne une mémoire collective, une transmission intergénérationnelle et un art de bâtir l’avenir sur le temps long.
À Toubacouta, Bassirou Diomaye Faye a rencontré différentes autorités locales : le maire, le chef de village, l’imam, la représentante des femmes et le président de l’Association pour le développement local. Ces discussions, menées sans filtre, ont été marquées par un esprit d’écoute et de franchise, même si le contenu précis des échanges n’a pas été dévoilé.
Le séjour s’est poursuivi sur les eaux paisibles du Sine-Saloum, à travers les mangroves. Le président a visité l’île Sipo, l’aire marine protégée de Bamboung ainsi que le centre ostréicole de Némaba. Là, il a échangé avec les « reines de l’eau », ces femmes qui, depuis des générations, cultivent les huîtres en préservant un savoir-faire ancestral.
Enfin, le voyage s’est achevé par une action à la fois pratique et hautement symbolique : le reboisement de la mangrove, pilier de l’équilibre écologique et barrière naturelle contre l’érosion côtière. En compagnie de la responsable d’un hôtel local, Bassirou Diomaye Faye a planté de jeunes pousses, illustrant une vision du développement tournée vers la durabilité.
Pour Le Soleil, cette immersion présidentielle est bien plus qu’un simple voyage. Elle se présente comme une véritable déclaration de méthode : « Le développement du Sénégal ne se décrète pas derrière un bureau, il se construit au contact direct des territoires, des communautés et de la nature. »
S’il avait tout d’un moment introspectif, ce déplacement revêtait également une portée touristique et symbolique. Le journal national présente d’ailleurs Bassirou Diomaye Faye comme un véritable ambassadeur du tourisme interne. La première étape fut la réserve naturelle de Fathala, entre Toubacouta et la frontière gambienne. Dans cette savane protégée, le président a marché aux côtés de lions, image forte d’un dialogue avec la nature.
Le voyage a ensuite pris un accent agricole. Dans un champ de mil, le chef de l’État a marqué une pause. Un geste simple, mais lourd de sens, que Le Soleil interprète comme un retour à ses origines paysannes. Pour lui, l’agriculture dépasse la dimension économique : elle incarne une mémoire collective, une transmission intergénérationnelle et un art de bâtir l’avenir sur le temps long.
À Toubacouta, Bassirou Diomaye Faye a rencontré différentes autorités locales : le maire, le chef de village, l’imam, la représentante des femmes et le président de l’Association pour le développement local. Ces discussions, menées sans filtre, ont été marquées par un esprit d’écoute et de franchise, même si le contenu précis des échanges n’a pas été dévoilé.
Le séjour s’est poursuivi sur les eaux paisibles du Sine-Saloum, à travers les mangroves. Le président a visité l’île Sipo, l’aire marine protégée de Bamboung ainsi que le centre ostréicole de Némaba. Là, il a échangé avec les « reines de l’eau », ces femmes qui, depuis des générations, cultivent les huîtres en préservant un savoir-faire ancestral.
Enfin, le voyage s’est achevé par une action à la fois pratique et hautement symbolique : le reboisement de la mangrove, pilier de l’équilibre écologique et barrière naturelle contre l’érosion côtière. En compagnie de la responsable d’un hôtel local, Bassirou Diomaye Faye a planté de jeunes pousses, illustrant une vision du développement tournée vers la durabilité.
Pour Le Soleil, cette immersion présidentielle est bien plus qu’un simple voyage. Elle se présente comme une véritable déclaration de méthode : « Le développement du Sénégal ne se décrète pas derrière un bureau, il se construit au contact direct des territoires, des communautés et de la nature. »