
Installé dans un appartement modeste de deux chambres – salon, côté IPG, Badara Gadiaga aurait contracté un prêt de 9 millions FCfa auprès de la banque ACEP. Jusqu’ici, rien d’illégal.
Mais ce prêt, accordé sans garantie apparente, intrigue les autorités. Selon des sources proches de l’enquête, les fonds pourraient avoir été réorientés vers des activités politiques ou clandestines.
Face à la gravité des soupçons, le parquet étudie des mesures conservatoires, dont un gel des avoirs de M. Gadiaga.
Ironie du sort : ce supposé « stratège de l’instabilité » serait encore redevable de son loyer et de ses mensualités auprès d’ACEP. Un déstabilisateur sous crédit… l’image fait sourire, mais l’enquête reste très sérieuse.
Mais ce prêt, accordé sans garantie apparente, intrigue les autorités. Selon des sources proches de l’enquête, les fonds pourraient avoir été réorientés vers des activités politiques ou clandestines.
Face à la gravité des soupçons, le parquet étudie des mesures conservatoires, dont un gel des avoirs de M. Gadiaga.
Ironie du sort : ce supposé « stratège de l’instabilité » serait encore redevable de son loyer et de ses mensualités auprès d’ACEP. Un déstabilisateur sous crédit… l’image fait sourire, mais l’enquête reste très sérieuse.