Les concertations ont été inclusives, c’est-à-dire de l’importateur en passant par le gros, le demi-gros, le détaillant jusqu’au bailleur. Donc, pour moi, on ne peut pas enfanter un enfant et ne pas lui donner un nom. Les 18 commissions, chacune en ce qui la concerne, a débattu les contraintes et les mesures à prendre. C’est à l’issue de ces travaux que ces 11 mesures sont sortise.
L’Etat a promis d’accompagner le ministère du Commerce pour le contrôle et le respect de la réglementation. Les moyens logistiques et humains sont mis à la disposition du ministère du Commerce. La réglementation dit que le consommateur doit être informé par l’affichage des prix. Si cela est respecté d’une manière permanente, je pense qu’on ne peut pas léser le consommateur.
Les différents stades de distribution ont été définis dès le début, c’est-à-dire l’importateur, le grossiste, le demi-grossiste et le détaillant. Chacun en ce qui le concerne, connaît la marge qu’il a du produit à vendre. En connaissance de cause, on ne peut pas spéculer. Mais, ma seule crainte, c’est les produits importés.
Ces produits, s’ils ne subissent pas des variations au niveau du pays d’origine, il ne doit pas y avoir de changement d’encadrement des prix. Mais si, par exemple, le riz importé connaît une variation vers la hausse, fatalement, les prix encadrés, comme dans le passé, ne pourront pas être respectés. Je demande, par ailleurs, à la population de dénoncer et d’alerter les autorités à travers le numéro vert, les commerçants véreux.»
L’Etat a promis d’accompagner le ministère du Commerce pour le contrôle et le respect de la réglementation. Les moyens logistiques et humains sont mis à la disposition du ministère du Commerce. La réglementation dit que le consommateur doit être informé par l’affichage des prix. Si cela est respecté d’une manière permanente, je pense qu’on ne peut pas léser le consommateur.
Les différents stades de distribution ont été définis dès le début, c’est-à-dire l’importateur, le grossiste, le demi-grossiste et le détaillant. Chacun en ce qui le concerne, connaît la marge qu’il a du produit à vendre. En connaissance de cause, on ne peut pas spéculer. Mais, ma seule crainte, c’est les produits importés.
Ces produits, s’ils ne subissent pas des variations au niveau du pays d’origine, il ne doit pas y avoir de changement d’encadrement des prix. Mais si, par exemple, le riz importé connaît une variation vers la hausse, fatalement, les prix encadrés, comme dans le passé, ne pourront pas être respectés. Je demande, par ailleurs, à la population de dénoncer et d’alerter les autorités à travers le numéro vert, les commerçants véreux.»