Cette campagne insidieuse touche directement la sphère privée du Chef du Gouvernement, dans un contexte déjà sensible. Les dérives numériques se transforment en agressions symboliques visant à fragiliser l’entourage familial d’un homme politique à travers sa fille.
Les auteurs de ces menaces ne se cachent même plus derrière l’anonymat. Pire, leurs identités sont connues, et certains d’entre eux opèrent sous des pseudonymes à peine voilés.
Face à cette situation, les autorités compétentes sont appelées à réagir sans délai, pour garantir la protection de Maya Domou Sonko et mettre un terme à ces actes qui violent les lois sur la cybercriminalité, la protection des mineurs et le respect de la vie privée.
L’opinion publique s’indigne. Ce harcèlement ciblé, parce qu’il touche à l’innocence d’un enfant, franchit une ligne rouge. Aucune divergence politique ne saurait justifier une telle ignominie.
Les auteurs de ces menaces ne se cachent même plus derrière l’anonymat. Pire, leurs identités sont connues, et certains d’entre eux opèrent sous des pseudonymes à peine voilés.
Face à cette situation, les autorités compétentes sont appelées à réagir sans délai, pour garantir la protection de Maya Domou Sonko et mettre un terme à ces actes qui violent les lois sur la cybercriminalité, la protection des mineurs et le respect de la vie privée.
L’opinion publique s’indigne. Ce harcèlement ciblé, parce qu’il touche à l’innocence d’un enfant, franchit une ligne rouge. Aucune divergence politique ne saurait justifier une telle ignominie.