Le ministre des Transports terrestres et aériens, Yankhoba Diémé, a annoncé l’arrivée prochaine de véhicules roulant au gaz destinés au transport urbain, dont 500 taxis, lundi, en marge de la plénière de l’Assemblée nationale consacrée à l’examen du budget de son département pour l’exercice 2026.
Interpellé par les députés lors de cette session, le ministre a indiqué que ”500 taxis au gaz seront prochainement mis en circulation, ainsi que 110 bus attendus entre décembre et janvier”.
”Ces véhicules sont déjà en route et leur acquisition découle d’instructions du Premier ministre”, a précisé Yankhoba Diémé.
Il a par ailleurs fait savoir que 390 autres bus seront bientôt acquis dans le cadre d’un marché, dont une partie sera exécutée en partenariat avec la Belgique.
”Nous mettons l’accent sur les véhicules au gaz, pour renforcer la souveraineté énergétique du pays, au moment où le Sénégal entame l’exploitation de ses ressources gazières”, a-t-il souligné.
Le ministre des Transports terrestres et aériens a, par ailleurs, signalé qu’un dispositif de vidéoverbalisation est en expérimentation sur l’autoroute à péage Dakar–Diamniadio et sur l’axe Ila Touba.
Il permet de détecter les infractions telles que le non port de la ceinture, l’utilisation du téléphone au volant ou les dépassements interdits, selon Yankhoba Diémé.
”Le test est concluant. Une fois le décret promulgué, la vidéoverbalisation sera généralisée sur tout le territoire national”, a-t-il indiqué, précisant que cette démarche s’inscrit dans la mise en œuvre des recommandations issues des Assises du transport, validées à 86 % par les acteurs.
Il a par ailleurs relevé l’existence d’un important passif réglementaire dans le secteur du transport routier, parlant de près de 200 textes de lois ou décrets en attente d’application.
Ces textes touchant notamment le transport scolaire, les taxis urbains, le transport touristique, les ambulances et véhicules funéraires, les véhicules à traction animale, les cyclomoteurs et les services de déménagement, a-t-il listé.
”Notre devoir est de régulariser et d’appliquer ces textes pour organiser le secteur”, a-t-il dit, insistant sur la nécessité de disposer d’un cadre réglementaire clair pour tous les modes de transport.
Yankhoba Diémé a rappelé que la réforme du transport routier vise d’abord l’amélioration du service rendu aux usagers. ”Le transport n’est pas seulement pour le transporteur. La finalité, c’est le confort et la sécurité de l’usager”, a-t-il dit.
Interpellé par les députés lors de cette session, le ministre a indiqué que ”500 taxis au gaz seront prochainement mis en circulation, ainsi que 110 bus attendus entre décembre et janvier”.
”Ces véhicules sont déjà en route et leur acquisition découle d’instructions du Premier ministre”, a précisé Yankhoba Diémé.
Il a par ailleurs fait savoir que 390 autres bus seront bientôt acquis dans le cadre d’un marché, dont une partie sera exécutée en partenariat avec la Belgique.
”Nous mettons l’accent sur les véhicules au gaz, pour renforcer la souveraineté énergétique du pays, au moment où le Sénégal entame l’exploitation de ses ressources gazières”, a-t-il souligné.
Le ministre des Transports terrestres et aériens a, par ailleurs, signalé qu’un dispositif de vidéoverbalisation est en expérimentation sur l’autoroute à péage Dakar–Diamniadio et sur l’axe Ila Touba.
Il permet de détecter les infractions telles que le non port de la ceinture, l’utilisation du téléphone au volant ou les dépassements interdits, selon Yankhoba Diémé.
”Le test est concluant. Une fois le décret promulgué, la vidéoverbalisation sera généralisée sur tout le territoire national”, a-t-il indiqué, précisant que cette démarche s’inscrit dans la mise en œuvre des recommandations issues des Assises du transport, validées à 86 % par les acteurs.
Il a par ailleurs relevé l’existence d’un important passif réglementaire dans le secteur du transport routier, parlant de près de 200 textes de lois ou décrets en attente d’application.
Ces textes touchant notamment le transport scolaire, les taxis urbains, le transport touristique, les ambulances et véhicules funéraires, les véhicules à traction animale, les cyclomoteurs et les services de déménagement, a-t-il listé.
”Notre devoir est de régulariser et d’appliquer ces textes pour organiser le secteur”, a-t-il dit, insistant sur la nécessité de disposer d’un cadre réglementaire clair pour tous les modes de transport.
Yankhoba Diémé a rappelé que la réforme du transport routier vise d’abord l’amélioration du service rendu aux usagers. ”Le transport n’est pas seulement pour le transporteur. La finalité, c’est le confort et la sécurité de l’usager”, a-t-il dit.







