
Invité de TFM par le journaliste Mamoudou Ibra Kane, Moustapha Diakhaté a encore fait montre de sa volonté d’alléger les souffrances des Sénégalais qui fêtent la Tabaski dans l’intérieur du Sénégal. «Il faut trois jours fériés pour bien fêter la Tabaski et je vais en parler à qui de droit», a-t-il martelé.
Moustapha Diakhaté, qui se réclame d’après ses mots comme «le khalif général des députés», va certainement discuter de cette proposition avec le ministre du Travail et celui de la Rationalisation des Effectifs et du Renouveau du Service Public du Sénégal.
M. Diakhaté avait déjà déclaré que c’était difficile «d’aller fêter la Tabaski et revenir travailler le lendemain. Ce n’est pas facile, surtout ceux qui déplacent dans les régions. Il suffit de prendre certains jours fériés inutiles pour les mettre à la place de ces trois jours pour bien fêter l’Aïd. On a 14 jours fériés, on peut enlever même le férié du jour d’après la Tamkharit ou encore quand le férié tombe sur un dimanche. Donc, cela permettra de ne pas travailler le jour qui précède la tabaski, le jour de la Tabaski et le lendemain ».
Pour Moustapha Diakhaté, avec la légalisation de trois jours fériés, cela permettra d’éviter l’anarchie qui règne le lendemain de la Tabaski avec les bureaux qui sont quasi vides.
Moustapha Diakhaté, qui se réclame d’après ses mots comme «le khalif général des députés», va certainement discuter de cette proposition avec le ministre du Travail et celui de la Rationalisation des Effectifs et du Renouveau du Service Public du Sénégal.
M. Diakhaté avait déjà déclaré que c’était difficile «d’aller fêter la Tabaski et revenir travailler le lendemain. Ce n’est pas facile, surtout ceux qui déplacent dans les régions. Il suffit de prendre certains jours fériés inutiles pour les mettre à la place de ces trois jours pour bien fêter l’Aïd. On a 14 jours fériés, on peut enlever même le férié du jour d’après la Tamkharit ou encore quand le férié tombe sur un dimanche. Donc, cela permettra de ne pas travailler le jour qui précède la tabaski, le jour de la Tabaski et le lendemain ».
Pour Moustapha Diakhaté, avec la légalisation de trois jours fériés, cela permettra d’éviter l’anarchie qui règne le lendemain de la Tabaski avec les bureaux qui sont quasi vides.