
«Depuis 10 mois, nous vivons cette situation sous l’œil bienveillant du gouvernement gambien qui permet aux trafiquants ramenant du bois ‘’venne’’ à partir du Sénégal, de pouvoir le scier et le transporter dans les containers», déplore Mamadou Salif Mballo, secrétaire général du l’Uncefs, selon des propos rapportés par "Le Quotidien".
Il faut relever que 60% des forêts sénégalaises se trouvent à la frontière avec la Gambie, c’est-à -dire de Ziguinchor à Sédhiou en passant par Kolda jusqu’à Tambacounda. Ces zones sont «assaillies de plus belle avec la complicité des nouvelles autorités gambiennes, qui ont autorisé la réouverture de l’exportation de bois de ‘‘venne’’ à partir du Port de Banjul», dénonce-t-il.
M. Mballo qui rencontrait hier le ministre de l’Environnement et du Développement durable, a estimé qu'il «urge de stopper ce trafic parce que les populations autochtones aveuglées par l’argent, venant de la Gambie, contribuent davantage à cette exploitation du bois qui mérite d’être éradiquée».
Il faut relever que 60% des forêts sénégalaises se trouvent à la frontière avec la Gambie, c’est-à -dire de Ziguinchor à Sédhiou en passant par Kolda jusqu’à Tambacounda. Ces zones sont «assaillies de plus belle avec la complicité des nouvelles autorités gambiennes, qui ont autorisé la réouverture de l’exportation de bois de ‘‘venne’’ à partir du Port de Banjul», dénonce-t-il.
M. Mballo qui rencontrait hier le ministre de l’Environnement et du Développement durable, a estimé qu'il «urge de stopper ce trafic parce que les populations autochtones aveuglées par l’argent, venant de la Gambie, contribuent davantage à cette exploitation du bois qui mérite d’être éradiquée».