«Je suis pour que la riposte s’organise à partir du territoire sénégalais, déclare Abdou Karim Sall. C’est cette riposte qui est pérenne. Si demain le Président gambien a des relations heurtées avec le Sénégal, qu’est-ce qu’on va faire ? On ne doit pas baser notre stratégie sur la compréhension, l’acceptation de l’exportation du bois par les autorités gambiennes. Il ne faut pas qu’on sous traite notre avenir, nos ressources».
Le ministre milite pour des stratégies viables avec des actions concertées parce que, dit-il, l’Etat seul ne peut pas régler cette affaire.
«Si ce trafic a lieu, c’est parce qu’il y a une forte complicité de populations sénégalaises. Tant qu’elles n’auront pas conscience qu’elles sont en train de causer du tort à l’intérêt général, tout ce qu’on mettra comme dispositif ne sera pas pérenne. Le combat doit se faire sur le terrain et il faut que les acteurs le portent. Nous devons tous nous mobiliser en rapport avec les forces de défense et de sécurité pour combattre ces ennemis de la forêt», préconise M. Sall qui promet un renforcement des moyens et des effectifs des agents des eaux et forêts.
Le ministre milite pour des stratégies viables avec des actions concertées parce que, dit-il, l’Etat seul ne peut pas régler cette affaire.
«Si ce trafic a lieu, c’est parce qu’il y a une forte complicité de populations sénégalaises. Tant qu’elles n’auront pas conscience qu’elles sont en train de causer du tort à l’intérêt général, tout ce qu’on mettra comme dispositif ne sera pas pérenne. Le combat doit se faire sur le terrain et il faut que les acteurs le portent. Nous devons tous nous mobiliser en rapport avec les forces de défense et de sécurité pour combattre ces ennemis de la forêt», préconise M. Sall qui promet un renforcement des moyens et des effectifs des agents des eaux et forêts.