Dans une déclaration rendue publique le 23 octobre, les syndicats du G7 ont vivement réagi aux « sorties médiatiques malencontreuses » de Mamadou Lamine Dianté, président du Haut Conseil du Dialogue Social.
Selon Sud Quotidien, ils lui reprochent des « propos inacceptables » tenus lors d’une émission télévisée, accusant les leaders syndicaux d’avoir « cédé à la pression ».
Le G7 dénonce une attitude « empreinte d’arrogance » et un « manque de rigueur » jugé nuisible au climat social, notamment dans les secteurs de la justice, de l’éducation et de la santé.
Toujours selon Sud Quotidien, les centrales syndicales estiment que le président du HCDS « s’est auto-disqualifié » et ne sera plus reconnu comme interlocuteur légitime.
Elles appellent à la vigilance et à la mobilisation pour le respect des accords signés, tout en regrettant le choix porté sur Mamadou Lamine Dianté, qu’elles jugent « inapte à diriger une telle institution ».
Selon Sud Quotidien, ils lui reprochent des « propos inacceptables » tenus lors d’une émission télévisée, accusant les leaders syndicaux d’avoir « cédé à la pression ».
Le G7 dénonce une attitude « empreinte d’arrogance » et un « manque de rigueur » jugé nuisible au climat social, notamment dans les secteurs de la justice, de l’éducation et de la santé.
Toujours selon Sud Quotidien, les centrales syndicales estiment que le président du HCDS « s’est auto-disqualifié » et ne sera plus reconnu comme interlocuteur légitime.
Elles appellent à la vigilance et à la mobilisation pour le respect des accords signés, tout en regrettant le choix porté sur Mamadou Lamine Dianté, qu’elles jugent « inapte à diriger une telle institution ».







