Les présidents de Conseil départemental et les maires des régions de Tambacounda et Kédougou, ont tenu une session de rencontre pour échanger sur l’épidémie de la fièvre jaune qui installe la peur dans les régions du centre. Ils comptent investissent le terrain pour accompagner le corps médical dans la campagne de vaccination de la fièvre jaune prévue le 15 février prochain et poursuivre la sensibilisation sur les mesures-barrières dans la lutte contre la covid-19.
La compagne contre la fièvre jaune dans les régions de Tambacounda et Kégoudou va durer 10 jours. Elle commence ce lundi 15 février 2021. La situation est alarmante. 4 cas ont été détectés dans la zone de Kidira et 2 morts liés à la maladie ont été enregistrés. « C’est pourquoi j’exhorte toutes les populations concernées, à se faire vacciner. Naturellement, nous exécutifs locaux devrons être à la tête de ce combat contre cette maladie notamment en accompagnant le corps médical, en participant activement aux actions de communication et de sensibilisation mais même en prêchant par l’exemple en se faisant vacciner et en faisant vacciner nos familles », a dit Sina Cissokho.
Prenant la parole, le président du Conseil départemental de Tambacounda, a soutenu qu’Il y va de notre santé, de la respectabilité de notre système de santé mais surtout, de la crédibilité des politiques publiques notamment en matière de politique sanitaire.
M. Cissokho demande à ses collègues de ne pas avoir peur, car « si la campagne de vaccination contre la fièvre jaune qui débute ce lundi dans les régions de Tamba et Kédougou échoue, ce sera une catastrophe pour la suite des événements. La campagne de vaccination contre la Covid-19 prévue au mois de mars risque vraiment d’en pâtir, ce qui serait vraiment grave si l’on sait tous les malheurs et difficultés que nous cause ce maudit virus ».
Tout le Sénégal, toute l’Afrique pour ne pas dire tout le monde entier aura les yeux et les oreilles braqués sur le Sénégal O,riental pour scruter et évaluer cette campagne de vaccination contre la fièvre jaune, qui inéluctablement, aura des conséquences sur les campagnes de vaccination futures.
A en croire le président du Conseil départemental de Tambacounda, le contexte est lourd, la désinformation fait fureur, "mais gardons toujours à l’esprit que c’est grâce à la vaccination que des maladies comme la polio, la variole et même la fièvre jaune ont pratiquement disparu dans nos contrées".
Les Exécutifs rassurent qu’aucun Etat au monde ne veut du mal à ses populations encore moins l’Etat du Sénégal, qui s’attelle tous les jours à améliorer les conditions de vie de ses citoyens. Leur seul et unique objectif, c’est de réussir cette campagne de vaccination contre la fièvre jaune.
La compagne contre la fièvre jaune dans les régions de Tambacounda et Kégoudou va durer 10 jours. Elle commence ce lundi 15 février 2021. La situation est alarmante. 4 cas ont été détectés dans la zone de Kidira et 2 morts liés à la maladie ont été enregistrés. « C’est pourquoi j’exhorte toutes les populations concernées, à se faire vacciner. Naturellement, nous exécutifs locaux devrons être à la tête de ce combat contre cette maladie notamment en accompagnant le corps médical, en participant activement aux actions de communication et de sensibilisation mais même en prêchant par l’exemple en se faisant vacciner et en faisant vacciner nos familles », a dit Sina Cissokho.
Prenant la parole, le président du Conseil départemental de Tambacounda, a soutenu qu’Il y va de notre santé, de la respectabilité de notre système de santé mais surtout, de la crédibilité des politiques publiques notamment en matière de politique sanitaire.
M. Cissokho demande à ses collègues de ne pas avoir peur, car « si la campagne de vaccination contre la fièvre jaune qui débute ce lundi dans les régions de Tamba et Kédougou échoue, ce sera une catastrophe pour la suite des événements. La campagne de vaccination contre la Covid-19 prévue au mois de mars risque vraiment d’en pâtir, ce qui serait vraiment grave si l’on sait tous les malheurs et difficultés que nous cause ce maudit virus ».
Tout le Sénégal, toute l’Afrique pour ne pas dire tout le monde entier aura les yeux et les oreilles braqués sur le Sénégal O,riental pour scruter et évaluer cette campagne de vaccination contre la fièvre jaune, qui inéluctablement, aura des conséquences sur les campagnes de vaccination futures.
A en croire le président du Conseil départemental de Tambacounda, le contexte est lourd, la désinformation fait fureur, "mais gardons toujours à l’esprit que c’est grâce à la vaccination que des maladies comme la polio, la variole et même la fièvre jaune ont pratiquement disparu dans nos contrées".
Les Exécutifs rassurent qu’aucun Etat au monde ne veut du mal à ses populations encore moins l’Etat du Sénégal, qui s’attelle tous les jours à améliorer les conditions de vie de ses citoyens. Leur seul et unique objectif, c’est de réussir cette campagne de vaccination contre la fièvre jaune.