
Sonko a pu faire reculer l’Etat du Sénégal en Mars 2021 mais par contre recule toujours devant Adji Sarr. « Le Pape, combien de divisions ? » disait Staline pour montrer que le Vatican n’était pas une puissance militaire. Aujourd’hui on peut se poser la même question « Adji Sarr, combien de divisions ? » pour terroriser à ce point le tout puissant Sonko qui a fait reculer l’Etat en mars 2021. En tout vu les réactions épidermiques de Sonko dès qu’on prononce le nom de Adji Sarr, on peut dire que Sonko craint plus Adji Sarr que l’Etat du Sénégal.
Donc la question se pose logiquement de savoir quelle est l’épée de Damoclès nucléaire que Adji Sarr brandit au-dessus de la tête de Sonko pour le terroriser au point qu’il ait tout tenté, tout fait pour éviter la face à face avec la fille en cherchant pour tous les moyens à repolitiser le dossier.
La réponse est simple. Avant d’être homme politique, Sonko est avant tout un père de famille. Et le procès risque au-delà sa mort politique risque d’entrainer sa « mort sociale » comme l’ont écrit nos confrères de Seneweb il y a quelques jours. Leral qui avait diffusé les audios fuités de Adji Sarr sur les gouts et préférences sexuels de Sonko est mesure de confirmer que ces audios ne sont qu’un coin du voile de ce que compte déballer Adji Sarr et d’autres filles qui viendront témoigner. En tout cas la peur a changé de camp.
En mars 2021, c’est Adji Sarr et la presse qui tremblaient devant les hordes déchainées de Sonko à l’exception de Leral qui a avait osé diffuser la conférence de presse de Adji Sarr. Aujourd’hui la peur est manifeste chez Sonko et Khady Ndiaye qui parle de risques de suicide en cas de procès. Cela montre son état psychologique comme celui de Sonko qui appelait l’Etat à protéger, à ne pas « tuer » Adji Sarr. En psychologie cela s’appelle du harcèlement paradoxal c’est-à-dire désirer ardemment et tout faire pour croire le contraire. Psychologiquement Khady Ndiaye, en parlant de risque de suicide en cas de procès lance un appel au secours pour que le procès ne se tienne pas et Sonko en demandant à l’Etat de ne pas « tuer » Adji sarr, rêve de la mort de la fille pour que l’action s’éteigne. Un rêve impossible et le réveil sera brutal car delà du déni de justice qui est impensable, le procès est devenu une demande sociale.
Donc la question se pose logiquement de savoir quelle est l’épée de Damoclès nucléaire que Adji Sarr brandit au-dessus de la tête de Sonko pour le terroriser au point qu’il ait tout tenté, tout fait pour éviter la face à face avec la fille en cherchant pour tous les moyens à repolitiser le dossier.
La réponse est simple. Avant d’être homme politique, Sonko est avant tout un père de famille. Et le procès risque au-delà sa mort politique risque d’entrainer sa « mort sociale » comme l’ont écrit nos confrères de Seneweb il y a quelques jours. Leral qui avait diffusé les audios fuités de Adji Sarr sur les gouts et préférences sexuels de Sonko est mesure de confirmer que ces audios ne sont qu’un coin du voile de ce que compte déballer Adji Sarr et d’autres filles qui viendront témoigner. En tout cas la peur a changé de camp.
En mars 2021, c’est Adji Sarr et la presse qui tremblaient devant les hordes déchainées de Sonko à l’exception de Leral qui a avait osé diffuser la conférence de presse de Adji Sarr. Aujourd’hui la peur est manifeste chez Sonko et Khady Ndiaye qui parle de risques de suicide en cas de procès. Cela montre son état psychologique comme celui de Sonko qui appelait l’Etat à protéger, à ne pas « tuer » Adji Sarr. En psychologie cela s’appelle du harcèlement paradoxal c’est-à-dire désirer ardemment et tout faire pour croire le contraire. Psychologiquement Khady Ndiaye, en parlant de risque de suicide en cas de procès lance un appel au secours pour que le procès ne se tienne pas et Sonko en demandant à l’Etat de ne pas « tuer » Adji sarr, rêve de la mort de la fille pour que l’action s’éteigne. Un rêve impossible et le réveil sera brutal car delà du déni de justice qui est impensable, le procès est devenu une demande sociale.