Que des contrevérités. C’est du moins ce qu’a soutenu le ministre de l’Urbanisme, pour balayer d’un revers de main les accusations de mauvaise gestion dans le cadre d’un marché juteux exécuté par l’Ucg (Unité de coordination des déchets solides), qui dépend de son ministère.
Alors, pour certainement tenter de démontrer que les informations relayées par la presse à son sujet, sont sans fondement, le patron de la ville de Kaffrine a mené la riposte sur deux fronts. Le premier a consisté à dire que le rapport de l’Autorité de régulation des marchés publics concerne une période avant sa nomination au poste de ministre de l’Urbanisme.
Selon lui, en effet, « j’ai été nommé le 1er novembre 2020 alors que le marché dont il est question, a été exécuté en mars 2020, ce qui prouve que ma personne n’est mêlée ni de près ni de loin à cette affaire ».
Autrement dit, même si l’administration est une continuité, ce qui justifie d’ailleurs, selon lui, son silence depuis lors, il n’en demeure pas moins que le fait que son nom ait été cité et sa photo publiée dans des médias, reste une erreur. Et pour clore le débat, Abdoulaye Sow a souligné « qu’au sujet dudit marché, l’ARMP n’a jamais écrit dans son rapport, surfacturation mais plutôt surcoût ».
La nuance serait importante, selon le ministre de l’Urbanisme. Pour le patron de la mouvance présidentielle dans la région de Kaffrine, ce qui s’est passé, c’est qu’« après le lancement de l’appel d’offres sur l’achat de matériel, mes services avaient constaté que, parmi les offres, il y en avait une qui était moins chère, mais il se trouvait que cette offre bien que mieux disante et ayant présenté un coût plus accessible que ses concurrents, n’a par contre pas présenté du matériel de qualité. Conséquence, l’UCG a été dans l’obligation de se rabattre sur un autre soumissionnaire qui, au moins, assure la livraison de matériel de qualité, un choix qui s’est fait faire ressentir dans l’enveloppe à dégager car, avec cette nouvelle offre, le coût était plus élevé. Là, on parle de surcoût et non de surfacturation », a expliqué le ministre de l’Urbanisme, Abdoulaye Sow.
Il a tenu ces propos en marge d’une assemblée générale de la mouvance présidentielle tenue ce week-end à Kaffrine. Une occasion qu’il a saisie pour inviter à l’unité au sein de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY), pour une victoire à la prochaine élection présidentielle. Il a aussi informé que, dans le cadre de la vente des cartes et pour la structuration de l’Alliance Pour la République (APR), pour Kaffrine, « 154 comités sont prêts en attendant la finalisation de 87 autres ». Une manière de lancer l’offensive contre l’opposition dans la zone.
Alors, pour certainement tenter de démontrer que les informations relayées par la presse à son sujet, sont sans fondement, le patron de la ville de Kaffrine a mené la riposte sur deux fronts. Le premier a consisté à dire que le rapport de l’Autorité de régulation des marchés publics concerne une période avant sa nomination au poste de ministre de l’Urbanisme.
Selon lui, en effet, « j’ai été nommé le 1er novembre 2020 alors que le marché dont il est question, a été exécuté en mars 2020, ce qui prouve que ma personne n’est mêlée ni de près ni de loin à cette affaire ».
Autrement dit, même si l’administration est une continuité, ce qui justifie d’ailleurs, selon lui, son silence depuis lors, il n’en demeure pas moins que le fait que son nom ait été cité et sa photo publiée dans des médias, reste une erreur. Et pour clore le débat, Abdoulaye Sow a souligné « qu’au sujet dudit marché, l’ARMP n’a jamais écrit dans son rapport, surfacturation mais plutôt surcoût ».
La nuance serait importante, selon le ministre de l’Urbanisme. Pour le patron de la mouvance présidentielle dans la région de Kaffrine, ce qui s’est passé, c’est qu’« après le lancement de l’appel d’offres sur l’achat de matériel, mes services avaient constaté que, parmi les offres, il y en avait une qui était moins chère, mais il se trouvait que cette offre bien que mieux disante et ayant présenté un coût plus accessible que ses concurrents, n’a par contre pas présenté du matériel de qualité. Conséquence, l’UCG a été dans l’obligation de se rabattre sur un autre soumissionnaire qui, au moins, assure la livraison de matériel de qualité, un choix qui s’est fait faire ressentir dans l’enveloppe à dégager car, avec cette nouvelle offre, le coût était plus élevé. Là, on parle de surcoût et non de surfacturation », a expliqué le ministre de l’Urbanisme, Abdoulaye Sow.
Il a tenu ces propos en marge d’une assemblée générale de la mouvance présidentielle tenue ce week-end à Kaffrine. Une occasion qu’il a saisie pour inviter à l’unité au sein de la coalition Benno Bokk Yakaar (BBY), pour une victoire à la prochaine élection présidentielle. Il a aussi informé que, dans le cadre de la vente des cartes et pour la structuration de l’Alliance Pour la République (APR), pour Kaffrine, « 154 comités sont prêts en attendant la finalisation de 87 autres ». Une manière de lancer l’offensive contre l’opposition dans la zone.