Le président du mouvement AGIR, Thierno Bocoum, est très révolté par la situation en Guinée, renseigne "Le Témoin". « Entraver la liberté de mouvement et de circulation d’un candidat et ensuite, procéder à la proclamation des résultats, est un acte inacceptable dans une démocratie. Tirer à bout portant sur des citoyens qui manifestent leur joie, est un crime. Laisser la machine du troisième mandat immoral tripatouiller les suffrages des populations, c’est être complice de la création délibérée d’une situation de chaos post électoral, à la place de l’expression légitime du peuple souverain », écrit l’ancien député sur sa page Facebook.
« En Afrique, les Commissions Électorales Nationales Indépendantes (CENI), les Forces de défense et de sécurité et les juges ont rarement été impartiaux dans de telles situations de corruption et de forcing. Qu’on ne confie pas l’avenir de tout un peuple, aux complices habituels. Que la CEDEAO prenne ses responsabilités en Guinée, avant que cela ne soit trop tard et pour montrer qu’elle se soucie des peuples. Que le Seigneur veille sur la Guinée et sur l’Afrique » écrit encore Thierno Bocoum.
« En Afrique, les Commissions Électorales Nationales Indépendantes (CENI), les Forces de défense et de sécurité et les juges ont rarement été impartiaux dans de telles situations de corruption et de forcing. Qu’on ne confie pas l’avenir de tout un peuple, aux complices habituels. Que la CEDEAO prenne ses responsabilités en Guinée, avant que cela ne soit trop tard et pour montrer qu’elle se soucie des peuples. Que le Seigneur veille sur la Guinée et sur l’Afrique » écrit encore Thierno Bocoum.