Dans un communiqué parvenu à la presse, ADHA condamne fermement ces actes, qu’elle qualifie d’atteintes graves à l’intégrité physique et psychologique des victimes, mais aussi de violations du droit international relatif à la protection des migrants. L’Ong cite notamment la Convention internationale sur les droits de tous les travailleurs migrants, ratifiée par la Mauritanie.
Fidèle à l’esprit de bon voisinage et de respect mutuel entre les peuples sénégalais et mauritaniens, ADHA appelle à une réaction coordonnée des autorités, pour éviter que ces incidents ne compromettent les relations bilatérales.
L’organisation formule ainsi plusieurs recommandations urgentes :
• l’ouverture d’une enquête impartiale par les autorités mauritaniennes, afin d’identifier les auteurs et de les traduire en justice ;
• un renforcement de l’assistance consulaire par les autorités sénégalaises, notamment à travers le ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur ;
• une collaboration entre les ONG mauritaniennes et sénégalaises, pour documenter les faits et garantir la justice ;
• et une surveillance active de la situation par l’Union Africaine et la CEDEAO, avec un appui aux mécanismes de médiation si nécessaire.
ADHA conclut en réaffirmant son engagement à défendre les droits de tous les migrants, indépendamment de leur statut et se dit prête à participer à toute initiative régionale en faveur de la dignité humaine et de la cohésion sociale.
Fidèle à l’esprit de bon voisinage et de respect mutuel entre les peuples sénégalais et mauritaniens, ADHA appelle à une réaction coordonnée des autorités, pour éviter que ces incidents ne compromettent les relations bilatérales.
L’organisation formule ainsi plusieurs recommandations urgentes :
• l’ouverture d’une enquête impartiale par les autorités mauritaniennes, afin d’identifier les auteurs et de les traduire en justice ;
• un renforcement de l’assistance consulaire par les autorités sénégalaises, notamment à travers le ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur ;
• une collaboration entre les ONG mauritaniennes et sénégalaises, pour documenter les faits et garantir la justice ;
• et une surveillance active de la situation par l’Union Africaine et la CEDEAO, avec un appui aux mécanismes de médiation si nécessaire.
ADHA conclut en réaffirmant son engagement à défendre les droits de tous les migrants, indépendamment de leur statut et se dit prête à participer à toute initiative régionale en faveur de la dignité humaine et de la cohésion sociale.