« Si aujourd’hui, Macky voulait un 3e mandat, je ne vois pas ce qui peut l’en empêcher », déclare-t-il d’emblée, dans un entretien avec Enquête, repris par Actusen.sn.
Le marabout-politicien d’expliquer : « pour que le peuple puisse l’en empêcher, il lui faut être organisé. Qui sont ceux qui s’opposent ? On parle aujourd’hui du PDS et le lendemain de retrouvailles. N’y a-t-il pas un deal derrière ? Ne sont-ils pas en train de recréer la grande famille libérale ? Ils l’ont déjà annoncé, il y a 10 ans. Ils avaient dit qu’ils allaient régner ici pendant 50 ans. Devant ça, qui est-ce qui peut s’opposer à Macky Sall ? J’espère qu’on ne m’exclura pas de l’Assemblée nationale, puisque qui en parle, se voit limoger (rires) ».
Serigne Mansour Sy Djamil se dit « persuadé que le Conseil constitutionnel est contre, mais on a vu ce qui s’est passé avec Me Abdoulaye Wade. C’est le Conseil constitutionnel qui avait validé sa candidature (pour un troisième mandat : ndlr) ».
« Le rapport de force n’existe pas aujourd’hui. Je veux me tromper et je souhaite me tromper. Mais, mon analyse, mon flair politique, mon vécu, me disent qu’il y a rien qui peut l’en empêcher », conclut-il.
Le marabout-politicien d’expliquer : « pour que le peuple puisse l’en empêcher, il lui faut être organisé. Qui sont ceux qui s’opposent ? On parle aujourd’hui du PDS et le lendemain de retrouvailles. N’y a-t-il pas un deal derrière ? Ne sont-ils pas en train de recréer la grande famille libérale ? Ils l’ont déjà annoncé, il y a 10 ans. Ils avaient dit qu’ils allaient régner ici pendant 50 ans. Devant ça, qui est-ce qui peut s’opposer à Macky Sall ? J’espère qu’on ne m’exclura pas de l’Assemblée nationale, puisque qui en parle, se voit limoger (rires) ».
Serigne Mansour Sy Djamil se dit « persuadé que le Conseil constitutionnel est contre, mais on a vu ce qui s’est passé avec Me Abdoulaye Wade. C’est le Conseil constitutionnel qui avait validé sa candidature (pour un troisième mandat : ndlr) ».
« Le rapport de force n’existe pas aujourd’hui. Je veux me tromper et je souhaite me tromper. Mais, mon analyse, mon flair politique, mon vécu, me disent qu’il y a rien qui peut l’en empêcher », conclut-il.
