« En effet, l’indicateur qui le synthétise a perdu 1,9 point pour se retrouver en-dessous de sa moyenne de long terme. Cette situation reflète les orientations défavorables des opinions des industriels, entrepreneurs de bâtiment et travaux publics et commerçants. Sur une base annuelle, le climat des affaires s’est, aussi, détérioré de 8,4 points, en juillet 2020 », explique la Dpee.
Dans l’industrie, l’insuffisance de la demande (36%), la concurrence supposée déloyale (29%), les difficultés de recouvrement des créances (29%) et l’approvisionnement difficile en matières premières (25%), ont majoritairement constitué les principales contraintes à l’activité.
Par ailleurs, le climat des affaires s’est affaissé (-1,8 point) dans le sous-secteur, en rythme mensuel, sous l’effet des orientations négatives des soldes d’opinion relatifs à la production et aux perspectives. Pour sa part, le solde d’opinion relatif aux stocks de produits finis s’est renforcé, en phase avec l’amélioration des carnets de commandes.
Concernant le sous-secteur des bâtiments et travaux publics, les principales contraintes des entrepreneurs interrogés sont l’accès difficile au crédit (60%) et les difficultés de recouvrement des créances (60%). En outre, le climat des affaires s’est dégradé (-5,5 points) dans le sous-secteur, en rythme mensuel, en liaison avec les orientations défavorables des soldes d’opinion relatifs aux commandes privées et perspectives de commandes privées.
Au titre du sous-secteur des services, les interrogés ont majoritairement évoqué les difficultés de recouvrement des créances (44%), la fiscalité (33%) et l’insuffisance de la demande (33%) comme les principales entraves à l’activité, en juillet 2020.
Toutefois, le climat des affaires s’est amélioré (+1,0 point) dans le sous-secteur, en rythme mensuel. S’agissant du commerce, les difficultés de recouvrement des créances (80%), l’insuffisance de la demande (80%) et l’approvisionnement difficile en marchandises (60%) sont les contraintes à l’activité les plus citées par les interviewés, en juillet 2020.
Par ailleurs, le climat des affaires dans le commerce s’est détérioré (-9,7 points) en rythme mensuel, sous l’effet des orientations négatives des soldes d’opinion relatifs au chiffre d’affaires, à la situation des stocks de produits finis, aux commandes reçues et perspectives de stocks de produits finis.
Adou FAYE
Dans l’industrie, l’insuffisance de la demande (36%), la concurrence supposée déloyale (29%), les difficultés de recouvrement des créances (29%) et l’approvisionnement difficile en matières premières (25%), ont majoritairement constitué les principales contraintes à l’activité.
Par ailleurs, le climat des affaires s’est affaissé (-1,8 point) dans le sous-secteur, en rythme mensuel, sous l’effet des orientations négatives des soldes d’opinion relatifs à la production et aux perspectives. Pour sa part, le solde d’opinion relatif aux stocks de produits finis s’est renforcé, en phase avec l’amélioration des carnets de commandes.
Concernant le sous-secteur des bâtiments et travaux publics, les principales contraintes des entrepreneurs interrogés sont l’accès difficile au crédit (60%) et les difficultés de recouvrement des créances (60%). En outre, le climat des affaires s’est dégradé (-5,5 points) dans le sous-secteur, en rythme mensuel, en liaison avec les orientations défavorables des soldes d’opinion relatifs aux commandes privées et perspectives de commandes privées.
Au titre du sous-secteur des services, les interrogés ont majoritairement évoqué les difficultés de recouvrement des créances (44%), la fiscalité (33%) et l’insuffisance de la demande (33%) comme les principales entraves à l’activité, en juillet 2020.
Toutefois, le climat des affaires s’est amélioré (+1,0 point) dans le sous-secteur, en rythme mensuel. S’agissant du commerce, les difficultés de recouvrement des créances (80%), l’insuffisance de la demande (80%) et l’approvisionnement difficile en marchandises (60%) sont les contraintes à l’activité les plus citées par les interviewés, en juillet 2020.
Par ailleurs, le climat des affaires dans le commerce s’est détérioré (-9,7 points) en rythme mensuel, sous l’effet des orientations négatives des soldes d’opinion relatifs au chiffre d’affaires, à la situation des stocks de produits finis, aux commandes reçues et perspectives de stocks de produits finis.
Adou FAYE