Le front social s’annonce agité dans le secteur de la santé. Selon le quotidien "L’As", l’Alliance des syndicats autonomes de la santé (ASAS) And Gueusseum a décidé de relancer la mobilisation après une longue période d’accalmie. Le Directoire national, réuni au siège de la FGTS/B, a déposé lundi un préavis de grève s’étendant du 19 novembre 2025 au 20 mai 2026.
Ce préavis s’accompagne d’un cinquième plan d’actions axé sur la satisfaction « immédiate et sans condition » des engagements non tenus par les autorités. Parmi les principales doléances : le paiement des augmentations dues aux contractuels, la signature du décret d’intégration des techniciens supérieurs de santé, la régularisation des fonds de motivation, et le recrutement de 5 000 agents.
« La patience a des limites », a martelé Mballo Dia Thiam, président de l’ASAS, qui estime que « les promesses sans suite ne peuvent plus tenir lieu de politique sociale ».
Un calendrier d’actions a déjà été établi : assemblées régionales, sit-in national, grève de 48 heures et évaluation finale le 28 novembre à Dakar.
Le syndicat exige aussi le relèvement de l’âge de la retraite à 65 ans, la réintégration de certaines directions au ministère de la Santé et la sécurisation du programme de logements sociaux SUTSAS-Namora.
« Nous ne sommes pas en guerre contre l’État, mais en défense de la dignité des travailleurs », a conclu Mballo Dia Thiam, cité par le quotidien "L’As".
Ce préavis s’accompagne d’un cinquième plan d’actions axé sur la satisfaction « immédiate et sans condition » des engagements non tenus par les autorités. Parmi les principales doléances : le paiement des augmentations dues aux contractuels, la signature du décret d’intégration des techniciens supérieurs de santé, la régularisation des fonds de motivation, et le recrutement de 5 000 agents.
« La patience a des limites », a martelé Mballo Dia Thiam, président de l’ASAS, qui estime que « les promesses sans suite ne peuvent plus tenir lieu de politique sociale ».
Un calendrier d’actions a déjà été établi : assemblées régionales, sit-in national, grève de 48 heures et évaluation finale le 28 novembre à Dakar.
Le syndicat exige aussi le relèvement de l’âge de la retraite à 65 ans, la réintégration de certaines directions au ministère de la Santé et la sécurisation du programme de logements sociaux SUTSAS-Namora.
« Nous ne sommes pas en guerre contre l’État, mais en défense de la dignité des travailleurs », a conclu Mballo Dia Thiam, cité par le quotidien "L’As".