
Le gouvernement, regrette-t-il, veut vendre des appartements, situés sur le DPM saisis sur Bibo Bourgi par la CREI. Quelle contradiction ! En vendant ces appartements, le gouvernement valide l’occupation du DPM. Les plages Anse Bernard auraient été déclassées par l’Etat et cédées à des Sud-Africains, selon plusieurs concitoyens.
« On attend la clarification du ministre Fofana en campagne électorale permanente et très prompt à attaquer l’opposition patriotique et responsable », interpelle-t-il.
Le foncier en zone rurale, Ndengeler, Nguéniène pour ne citer que les cas plus connus, concernant un phénomène généralisé. L’alliance des maires corrompus et la direction des domaines fait des ravages. « Comment peut-on expliquer en l’état actuel de la législation qu’une société qui a pignon sur rue certes, comme Sedima, peut en 5 ans se retrouver avec un titre foncier de 225 ha qui correspond à une valorisation de 45 milliards de francs. Quelle mise en valeur de la Sedima lui a permis d’obtenir cette propriété.
Sur les terres requalifiées de lotissement de Djilakh dans la commune de Sindia, un titre foncier a été octroyé à la Sedima. Sauf à dédommager la Sedima, comment l’Etat peut lui retirer ce titre foncier sous peine d’être accusé de favoriser l’insécurité juridique », s’est interrogé Mamadou Lamine Diallo.
La réforme de la gouvernance foncière, insiste-t-il, est devenue une urgence absolue, tant l’instinct de prédation domine dans le foncier à BBY.
« On attend la clarification du ministre Fofana en campagne électorale permanente et très prompt à attaquer l’opposition patriotique et responsable », interpelle-t-il.
Le foncier en zone rurale, Ndengeler, Nguéniène pour ne citer que les cas plus connus, concernant un phénomène généralisé. L’alliance des maires corrompus et la direction des domaines fait des ravages. « Comment peut-on expliquer en l’état actuel de la législation qu’une société qui a pignon sur rue certes, comme Sedima, peut en 5 ans se retrouver avec un titre foncier de 225 ha qui correspond à une valorisation de 45 milliards de francs. Quelle mise en valeur de la Sedima lui a permis d’obtenir cette propriété.
Sur les terres requalifiées de lotissement de Djilakh dans la commune de Sindia, un titre foncier a été octroyé à la Sedima. Sauf à dédommager la Sedima, comment l’Etat peut lui retirer ce titre foncier sous peine d’être accusé de favoriser l’insécurité juridique », s’est interrogé Mamadou Lamine Diallo.
La réforme de la gouvernance foncière, insiste-t-il, est devenue une urgence absolue, tant l’instinct de prédation domine dans le foncier à BBY.