Le ministère de l’Environnement prévoit 9,63 milliards de F CFA pour 2026 afin de lutter contre la pollution et le changement climatique, dont 8,22 milliards dédiés aux investissements. Selon le ministre, cette enveloppe illustre l’importance stratégique du programme dans le cadre de l’Agenda Sénégal 2050 et face aux défis environnementaux croissants. Si les députés saluent cette orientation budgétaire, ils s’inquiètent de l’impact réel de ces fonds, relate LeTémoin.
Pour eux, la priorité est la mise en œuvre concrète : construction de stations de traitement des eaux usées, contrôle strict des indus‐ tries polluantes, suivi de la qualité de l’air dans les zones urbaines à forte densité industrielle et réduction de l’usage du plastique et des produits polluants. Les parlementaires insistent sur l’accompagnement des investissements par des mesures opérationnelles : formation des agents, surveillance régulière et sensibilisation des populations.
Selon le journal, ils rappellent également le rôle clé des collectivités locales dans l’application des politiques anti‐pollution. En conclusion, ils soulignent que « si le budget 2026 traduit une volonté politique forte, son efficacité dépendra de sa mise en œuvre », condition indispensable pour protéger les écosystèmes, la santé des populations et renforcer la résilience face au changement climatique.
Pour eux, la priorité est la mise en œuvre concrète : construction de stations de traitement des eaux usées, contrôle strict des indus‐ tries polluantes, suivi de la qualité de l’air dans les zones urbaines à forte densité industrielle et réduction de l’usage du plastique et des produits polluants. Les parlementaires insistent sur l’accompagnement des investissements par des mesures opérationnelles : formation des agents, surveillance régulière et sensibilisation des populations.
Selon le journal, ils rappellent également le rôle clé des collectivités locales dans l’application des politiques anti‐pollution. En conclusion, ils soulignent que « si le budget 2026 traduit une volonté politique forte, son efficacité dépendra de sa mise en œuvre », condition indispensable pour protéger les écosystèmes, la santé des populations et renforcer la résilience face au changement climatique.








