Redonner au Sénégal sa souveraineté économique, sa capacité à produire, financer et gouverner, en s’appuyant essentiellement sur ses ressources internes, dans un modèle sobre, inclusif, équitable et durable. L’objectif du quinquennat est clair : corriger les déséquilibres, rationaliser les dépenses et bâtir une économie productive.
Les trois chantiers de financement
1. Réduction maîtrisée de la dépense publique : optimisation budgétaire, lutte contre le train de vie de l’État.
2. Mobilisation des ressources domestiques : fiscalité juste, meilleure collecte, lutte contre la fraude.
3. Financement endogène hors endettement : mécanismes internes sans recours à l’emprunt extérieur.
Méthodologie
Le plan repose sur une logique en trois phases :
• Réformes préalables aux actions futures.
• Réformes techniques de fond : administration, fiscalité, justice, etc.
• Gouvernance vertueuse : reddition des comptes, transparence, suivi citoyen.
Un financement massif, mais autonome
Le plan affiche un coût supérieur de 33% à celui prévu dans le DPBEP 2025-2028, mais 90% seront financés par des ressources internes, sans alourdir la dette.
Total de ressources mobilisables entre 2025-2028 : 4 604 milliards FCFA, répartis comme suit :
• 2 111 milliards FCfa : recettes fiscales et parafiscales internes.
• 1 091 milliards FCfa : recyclage d’actifs publics, sans cession de propriété.
• 50 milliards FCfa : économies sur le fonctionnement de l’administration.
• 1 352 milliards FCfa : mécanismes innovants de financement endogène, sans dette.
Calendrier : Vision 2050 en trois phases
• 2024 – 2034 : Redresser les fondamentaux, restaurer la confiance.
• 2034 – 2044 : Impulser la dynamique d’émergence souveraine.
• 2044 – 2050 : Accélérer vers la transformation structurelle.
Ce plan marque un changement de paradigme, un engagement fort pour la rupture avec le modèle extraverti et une volonté politique de construire un Sénégal maître de ses moyens, de ses priorités et de son avenir.
Les trois chantiers de financement
1. Réduction maîtrisée de la dépense publique : optimisation budgétaire, lutte contre le train de vie de l’État.
2. Mobilisation des ressources domestiques : fiscalité juste, meilleure collecte, lutte contre la fraude.
3. Financement endogène hors endettement : mécanismes internes sans recours à l’emprunt extérieur.
Méthodologie
Le plan repose sur une logique en trois phases :
• Réformes préalables aux actions futures.
• Réformes techniques de fond : administration, fiscalité, justice, etc.
• Gouvernance vertueuse : reddition des comptes, transparence, suivi citoyen.
Un financement massif, mais autonome
Le plan affiche un coût supérieur de 33% à celui prévu dans le DPBEP 2025-2028, mais 90% seront financés par des ressources internes, sans alourdir la dette.
Total de ressources mobilisables entre 2025-2028 : 4 604 milliards FCFA, répartis comme suit :
• 2 111 milliards FCfa : recettes fiscales et parafiscales internes.
• 1 091 milliards FCfa : recyclage d’actifs publics, sans cession de propriété.
• 50 milliards FCfa : économies sur le fonctionnement de l’administration.
• 1 352 milliards FCfa : mécanismes innovants de financement endogène, sans dette.
Calendrier : Vision 2050 en trois phases
• 2024 – 2034 : Redresser les fondamentaux, restaurer la confiance.
• 2034 – 2044 : Impulser la dynamique d’émergence souveraine.
• 2044 – 2050 : Accélérer vers la transformation structurelle.
Ce plan marque un changement de paradigme, un engagement fort pour la rupture avec le modèle extraverti et une volonté politique de construire un Sénégal maître de ses moyens, de ses priorités et de son avenir.