À travers un communiqué publié le 3 août 2025, le Front pour une Révolution Anti-impérialiste Populaire et Panafricaine (FRAPP) a livré son analyse du Plan de Redressement Économique et Social (PRES) présenté par le Premier ministre Ousmane Sonko.
Le FRAPP félicite la volonté gouvernementale de financer l’économie par des ressources domestiques (capital public, financement participatif, etc.) et d’affronter les pressions du FMI. L’organisation rappelle que ces institutions n’ont jamais œuvré pour la souveraineté des peuples africains et invite à les évincer des débats publics.
Sur la question de la dette, le FRAPP salue l’audace du Premier ministre à évoquer une dette "illégitime et odieuse", plaidant pour un audit citoyen, afin de différencier les emprunts utiles de ceux contractés contre l’intérêt national.
L’organisation encourage également la réduction du train de vie de l’État, mais exprime des réserves sur le ciblage des subventions, dénonçant un système de transfert monétaire inadapté et plaide pour un soutien direct aux couches les plus vulnérables.
Enfin, le FRAPP regrette l’absence d’un débat sur la souveraineté monétaire dans le PRES. Pour le mouvement, aucune souveraineté économique n’est possible sans une monnaie nationale, pilotée par des institutions africaines.
Cette sortie du FRAPP, signée par son Secrétariat exécutif national, vise à rappeler que le changement de cap devra s’accompagner d’une vigilance populaire active et structurée.
Le FRAPP félicite la volonté gouvernementale de financer l’économie par des ressources domestiques (capital public, financement participatif, etc.) et d’affronter les pressions du FMI. L’organisation rappelle que ces institutions n’ont jamais œuvré pour la souveraineté des peuples africains et invite à les évincer des débats publics.
Sur la question de la dette, le FRAPP salue l’audace du Premier ministre à évoquer une dette "illégitime et odieuse", plaidant pour un audit citoyen, afin de différencier les emprunts utiles de ceux contractés contre l’intérêt national.
L’organisation encourage également la réduction du train de vie de l’État, mais exprime des réserves sur le ciblage des subventions, dénonçant un système de transfert monétaire inadapté et plaide pour un soutien direct aux couches les plus vulnérables.
Enfin, le FRAPP regrette l’absence d’un débat sur la souveraineté monétaire dans le PRES. Pour le mouvement, aucune souveraineté économique n’est possible sans une monnaie nationale, pilotée par des institutions africaines.
Cette sortie du FRAPP, signée par son Secrétariat exécutif national, vise à rappeler que le changement de cap devra s’accompagner d’une vigilance populaire active et structurée.