
Dans sa lettre réponse, le leader du mouvement Guem Sa Bop a souligné au préfet ce qui semblent être des irrégularités dans la forme et dans le fond. La première est que Bougane sur cette injonction a reçu une lettre et non un arrêté préfectoral. Ce qui selon lui ne saurait entrainer des effets juridiques à son encontre..
Pourtant selon le préfet de Dakar, Mor Talla Tine, les affiches de Bougane comportant des messages politiques qui violaient la loi n°83-20 du 28 janvier 1983, et qui «sont de nature à créer des troubles à l’ordre public, à travers des actes de vandalisme».
Mais là aussi Bougane Guèye insiste que nulle part sur ses affiches on ne relève de pareils actes, alors qu’il incitait seulement les citoyens à accomplir un devoir citoyen.
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Autant de raisons parmi d’autres, (voir photos) qui font que rien ne l’oblige à exécuter cette décision préfectorale… Dans l’attente d’une décision qu’il jugera légale, « pour le moment », le leader de Guem Sa Bop dit niet !
Pourtant selon le préfet de Dakar, Mor Talla Tine, les affiches de Bougane comportant des messages politiques qui violaient la loi n°83-20 du 28 janvier 1983, et qui «sont de nature à créer des troubles à l’ordre public, à travers des actes de vandalisme».
Mais là aussi Bougane Guèye insiste que nulle part sur ses affiches on ne relève de pareils actes, alors qu’il incitait seulement les citoyens à accomplir un devoir citoyen.
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Autant de raisons parmi d’autres, (voir photos) qui font que rien ne l’oblige à exécuter cette décision préfectorale… Dans l’attente d’une décision qu’il jugera légale, « pour le moment », le leader de Guem Sa Bop dit niet !