Sous son mandat, l’OFNAC a enregistré des avancées significatives. De la mise en œuvre complète de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption à la régularisation des rapports d’activité couvrant une décennie, l’institution a renforcé sa crédibilité et sa rigueur.
Les chiffres évoqués sont parlants, plus de 2 400 plaintes enregistrées depuis la création de l’Office, une hausse spectaculaire des dénonciations en 2024, des dizaines de rapports transmis à la justice et un suivi accru des déclarations de patrimoine. À cela s’ajoutent des audits internes, une meilleure gouvernance financière et une présence affirmée sur la scène internationale.
Mais au delà des bilans chiffrés, Serigne Bassirou Gueye a tenu à saluer l’engagement des femmes et des hommes de l’OFNAC, qu’il a décrits comme une équipe « déterminée et infatigable ». Il a insisté sur l’importance de la prévention et de la sensibilisation, soulignant les actions menées auprès des collectivités territoriales, des universités et de la société civile. Une manière de rappeler que la lutte contre la corruption ne saurait se limiter aux enquêtes, mais doit s’enraciner durablement dans les comportements et les institutions.
Le discours a aussi pris des allures de passage de témoin assumé. Le président sortant a exprimé une confiance sans réserve envers son successeur, Moustapha Kâ, qu’il connaît de longue date et qu’il décrit comme un magistrat rigoureux, loyal et profondément attaché au service public.
Les chiffres évoqués sont parlants, plus de 2 400 plaintes enregistrées depuis la création de l’Office, une hausse spectaculaire des dénonciations en 2024, des dizaines de rapports transmis à la justice et un suivi accru des déclarations de patrimoine. À cela s’ajoutent des audits internes, une meilleure gouvernance financière et une présence affirmée sur la scène internationale.
Mais au delà des bilans chiffrés, Serigne Bassirou Gueye a tenu à saluer l’engagement des femmes et des hommes de l’OFNAC, qu’il a décrits comme une équipe « déterminée et infatigable ». Il a insisté sur l’importance de la prévention et de la sensibilisation, soulignant les actions menées auprès des collectivités territoriales, des universités et de la société civile. Une manière de rappeler que la lutte contre la corruption ne saurait se limiter aux enquêtes, mais doit s’enraciner durablement dans les comportements et les institutions.
Le discours a aussi pris des allures de passage de témoin assumé. Le président sortant a exprimé une confiance sans réserve envers son successeur, Moustapha Kâ, qu’il connaît de longue date et qu’il décrit comme un magistrat rigoureux, loyal et profondément attaché au service public.








