« On mesure l’indice de développement d’un pays en regardant en premier lieu son taux de croissance pour savoir est ce qu’il y a une production supplémentaire de richesses par année. Macky Sall qui a prêté serment le 3 avril 2012, comme nouveau président de la République du Sénégal, avait trouvé la croissance économique du Sénégal à 1,8%, avec une augmentation de la population de 2,8%. Chaque Sénégalais avait ainsi vu ses revenus diminuer de 1%. Et le président Macky Sall l’a hissé à hauteur de 5,1%. Car, déjà , il a été mis en oeuvre dès juin 2012 une loi de finances rectificative pour corriger ces disparités en faisant des réorientations stratégiques, en définissant les priorités de l’heure avec un budget pour l’agriculture et les intrants et aussi régler les problèmes de l’électricité. Ces corrections et réorientations stratégiques ont ainsi crédibilisé l’image du Sénégal au niveau des partenaires techniques et financiers qui ont ainsi accompagné notre pays pour atteindre une croissance de 5,1% dès l’année 2012 », a révélé Moustapha Bâ, lors d’une émission avec la journaliste Maïmouna Ndour Faye sur la 7TV.
Ces révélations de Moustapha Bâ, le DG du budget sont biens corroborés par le Projet de la loi de finances 2019. En faisant la lecture de la courbe de progression du taux de croissance depuis 2014, on se rend compte que le Sénégal est entré dans une vitesse de croisière avec son taux de croissance qui est passé de 4.4% en 2014 à 7.2% en 2017, avec une prévision de 6.8% en 2018 et une projection à 6.9% en 2019.
En effet, le régime de Macky Sall a réparé beaucoup de disparités héritées de l’ancien de régime de Abdoulaye Wade, d’une part, en redressant des comptes publics et d’autre part, en boostant le taux de croissance dans un cycle inédit de l’histoire économique sénégalaise depuis 1960.
« Les chiffres sont indiscutables : - 2014 : 4.4% - 2015 : 6.4% - 2016 : 6.2% - 2017 : 7.2% - prévision 2018 : 6.8% - projection 2019 : 6.9% », peut-on lire dans le Projet de loi de finances pour l’année 2019 consulté par Leral.net.
Or, poursuit, en comparaison, le Projet de loi de finances pour l’année 2019 note « une croissance économique inférieure à la croissance démographique (1.8% contre 2.8%, en 2011) ».
Ce qui avait entraîné « des conséquences particulièrement négatives pour un pays en voie de développement ; des comptes publics en état de dégradation avancé (6.7% de déficit budgétaire en 2011, atteignant même 8% en avril 2012, avec en miroir un solde négatif de 10% du compte courant de la balance des paiements) ».
Toutefois, avec le Plan Sénégal Emergent (PSE) qui a pris le relais comme référentiel de la politique économique et sociale à partir de 2014, l’Etat sénégalais sous Macky Sall a réussi avec brio le pari de l’assainissement des finances publiques.
Ces révélations de Moustapha Bâ, le DG du budget sont biens corroborés par le Projet de la loi de finances 2019. En faisant la lecture de la courbe de progression du taux de croissance depuis 2014, on se rend compte que le Sénégal est entré dans une vitesse de croisière avec son taux de croissance qui est passé de 4.4% en 2014 à 7.2% en 2017, avec une prévision de 6.8% en 2018 et une projection à 6.9% en 2019.
En effet, le régime de Macky Sall a réparé beaucoup de disparités héritées de l’ancien de régime de Abdoulaye Wade, d’une part, en redressant des comptes publics et d’autre part, en boostant le taux de croissance dans un cycle inédit de l’histoire économique sénégalaise depuis 1960.
« Les chiffres sont indiscutables : - 2014 : 4.4% - 2015 : 6.4% - 2016 : 6.2% - 2017 : 7.2% - prévision 2018 : 6.8% - projection 2019 : 6.9% », peut-on lire dans le Projet de loi de finances pour l’année 2019 consulté par Leral.net.
Or, poursuit, en comparaison, le Projet de loi de finances pour l’année 2019 note « une croissance économique inférieure à la croissance démographique (1.8% contre 2.8%, en 2011) ».
Ce qui avait entraîné « des conséquences particulièrement négatives pour un pays en voie de développement ; des comptes publics en état de dégradation avancé (6.7% de déficit budgétaire en 2011, atteignant même 8% en avril 2012, avec en miroir un solde négatif de 10% du compte courant de la balance des paiements) ».
Toutefois, avec le Plan Sénégal Emergent (PSE) qui a pris le relais comme référentiel de la politique économique et sociale à partir de 2014, l’Etat sénégalais sous Macky Sall a réussi avec brio le pari de l’assainissement des finances publiques.