Le samedi 29 novembre 2025, lors d’une rencontre organisée directement sur le site litigieux, les membres du collectif ont alerté sur une « insécurité foncière devenue insoutenable ». Pour eux, le différend qui les oppose à la société immobilière Socabeg, dépasse désormais le simple cadre d’un conflit de propriété : il pose la question de la fiabilité des documents fonciers et de la protection des citoyens face aux opérations contestées.
Selon les représentants du collectif, la Socabeg aurait entrepris une réoccupation progressive du site, malgré une décision de justice ordonnant la suspension de toute intervention. La construction récente d’une guérite, est interprétée comme un acte de défiance vis-à -vis du cadre légal. « Nous assistons à des initiatives qui fragilisent le droit des citoyens et créent un sentiment d’abandon », explique Elhadji Ibrahima Thiam.
Face à cette situation, les habitants affirment avoir pris des dispositions symboliques pour matérialiser leur présence et leur droit sur le terrain. Ils disent également être déterminés à répondre à toute nouvelle initiative qu’ils jugeraient illégitime. Pour eux, tous les documents qu’ils détiennent confirment la légalité de leur propriété, tandis que le bail présenté par la Socabeg, serait, selon leurs propres vérifications, « entaché d’irrégularités ».
Le collectif en appelle ainsi aux autorités administratives et judiciaires, pour clarifier définitivement le statut du site. Il sollicite notamment une intervention diligente de la Direction de la surveillance et du contrôle de l’occupation du sol (Dscos), à qui un soit-transmis du Procureur a été adressé depuis le 29 juillet 2024.
Selon les représentants du collectif, la Socabeg aurait entrepris une réoccupation progressive du site, malgré une décision de justice ordonnant la suspension de toute intervention. La construction récente d’une guérite, est interprétée comme un acte de défiance vis-à -vis du cadre légal. « Nous assistons à des initiatives qui fragilisent le droit des citoyens et créent un sentiment d’abandon », explique Elhadji Ibrahima Thiam.
Face à cette situation, les habitants affirment avoir pris des dispositions symboliques pour matérialiser leur présence et leur droit sur le terrain. Ils disent également être déterminés à répondre à toute nouvelle initiative qu’ils jugeraient illégitime. Pour eux, tous les documents qu’ils détiennent confirment la légalité de leur propriété, tandis que le bail présenté par la Socabeg, serait, selon leurs propres vérifications, « entaché d’irrégularités ».
Le collectif en appelle ainsi aux autorités administratives et judiciaires, pour clarifier définitivement le statut du site. Il sollicite notamment une intervention diligente de la Direction de la surveillance et du contrôle de l’occupation du sol (Dscos), à qui un soit-transmis du Procureur a été adressé depuis le 29 juillet 2024.








