« Ce sont des propos qui nous ont surpris dans la mesure où le président de la République, qui affirme que la procédure concernant l’affaire de la caisse d’avance est encore pendante devant la justice, semble oublier que malgré ce caractère non définitif de la procédure, il a lui-même signé un décret portant révocation de Khalifa Sall de ses fonction de maire, il a fait saisir l’Assemblée nationale pour le déchoir de son mandat de député et enfin, il a poussé le Conseil constitutionnel à rejeter la candidature de Khalifa Ababacar Sall à l’élection présidentielle, au motif que le rabat d’arrêt n’avait pas d’incidence sur la procédure judiciaire », a-t-il indiqué sur la RFM.
« C’est une déclaration qui, à mon sens, ne permet pas d’engager ce dialogue sous les meilleurs auspices », a-t-il poursuivi, avant de marteler, « ce sont des propos qui frisent la mauvaise volonté ».
« C’est une déclaration qui, à mon sens, ne permet pas d’engager ce dialogue sous les meilleurs auspices », a-t-il poursuivi, avant de marteler, « ce sont des propos qui frisent la mauvaise volonté ».