Le Désert de Lompoul, autrefois symbole de beauté naturelle et de richesse touristique du Sénégal, est aujourd’hui en train de disparaître sous les effets dévastateurs de l’exploitation minière.
Derrière ce désastre, un nom revient sans cesse : ERAMET GCO (Grande Côte Opérations), filiale du groupe français ERAMET, accusée d’avoir systématiquement détruit l’écosystème et le patrimoine culturel de la région au profit de profits colossaux.
Selon plusieurs sources locales et estimations économiques, le désert de Lompoul générait chaque année entre 2 et 4 milliards de francs CFA de revenus directs et indirects pour les entreprises touristiques et les populations environnantes. Aujourd’hui, cette manne s’est envolée. Il ne reste que de la poussière, du bruit et de la désolation.
Malgré la médiatisation croissante du scandale, la mine continue ses activités dans un flou total, protégée, selon plusieurs témoignages, par certains services de l’État.
Les demandes de transparence, d’audit environnemental et d’indemnisation des populations restent lettre morte.
Si le désert de Lompoul semble déjà perdu, il n’est pas trop tard pour les milliers de Sénégalais encore menacés par l’avancée de la mine.
Il n’est pas trop tard pour exiger la vérité sur les actions passées de la société, notamment en ce qui concerne le cimetière de Foot, les conditions de vie des habitants, et les indemnisations insuffisantes promises aux familles.
Les acteurs de la société civile appellent aujourd’hui à un moratoire national sur les activités minières de GCO, le temps d’évaluer les dégâts, de restaurer les zones affectées et d’assurer une gestion durable et transparente des ressources naturelles du pays.
Car il est temps que le Sénégal retrouve sa dignité, impose à son administration et aux multinationales le respect strict de la loi et la protection de ses terres et de ses populations.
Espérons que les responsables politiques agiront enfin pour soulager les victimes et faire toute la lumière sur le scandale ERAMET GCO au Sénégal.
#MoratoireLompoul #GCODafaDoy #ERAMETçasuffit
Jeureujeuf, Adjarama ! Jub, Jubal, Jubanti rekk !
Derrière ce désastre, un nom revient sans cesse : ERAMET GCO (Grande Côte Opérations), filiale du groupe français ERAMET, accusée d’avoir systématiquement détruit l’écosystème et le patrimoine culturel de la région au profit de profits colossaux.
Selon plusieurs sources locales et estimations économiques, le désert de Lompoul générait chaque année entre 2 et 4 milliards de francs CFA de revenus directs et indirects pour les entreprises touristiques et les populations environnantes. Aujourd’hui, cette manne s’est envolée. Il ne reste que de la poussière, du bruit et de la désolation.
Malgré la médiatisation croissante du scandale, la mine continue ses activités dans un flou total, protégée, selon plusieurs témoignages, par certains services de l’État.
Les demandes de transparence, d’audit environnemental et d’indemnisation des populations restent lettre morte.
Si le désert de Lompoul semble déjà perdu, il n’est pas trop tard pour les milliers de Sénégalais encore menacés par l’avancée de la mine.
Il n’est pas trop tard pour exiger la vérité sur les actions passées de la société, notamment en ce qui concerne le cimetière de Foot, les conditions de vie des habitants, et les indemnisations insuffisantes promises aux familles.
Les acteurs de la société civile appellent aujourd’hui à un moratoire national sur les activités minières de GCO, le temps d’évaluer les dégâts, de restaurer les zones affectées et d’assurer une gestion durable et transparente des ressources naturelles du pays.
Car il est temps que le Sénégal retrouve sa dignité, impose à son administration et aux multinationales le respect strict de la loi et la protection de ses terres et de ses populations.
Espérons que les responsables politiques agiront enfin pour soulager les victimes et faire toute la lumière sur le scandale ERAMET GCO au Sénégal.
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Jeureujeuf, Adjarama ! Jub, Jubal, Jubanti rekk !







