Alors que le Lac Rose retrouve progressivement son éclat naturel, le projet immobilier Orascom, qui prévoit la construction de 18 000 logements, pour un investissement de plus de 700 milliards de francs Cfa, suscite des inquiétudes.
  
La plateforme « Aar Lac Rose » a organisé une marche pacifique pour dénoncer les risques écologiques et socio-économiques liés au projet.
  
Selon Amath Wade, porte-parole du collectif, plus de 40 000 personnes tirent leurs revenus des activités liées au site : tourisme, artisanat, exploitation du sel, hôtellerie. Les acteurs locaux craignent que la nouvelle ville ne porte atteinte à l’écosystème et au patrimoine économique du Lac Rose.
  
Le collectif souligne qu’il ne s’oppose pas au projet, mais à son emplacement. Il propose qu'Orascom soit installé sur une partie non touristique du titre foncier de la DGPU, afin d’éviter la pression foncière sur le lac et ses villages traditionnels.
  La plateforme « Aar Lac Rose » a organisé une marche pacifique pour dénoncer les risques écologiques et socio-économiques liés au projet.
Selon Amath Wade, porte-parole du collectif, plus de 40 000 personnes tirent leurs revenus des activités liées au site : tourisme, artisanat, exploitation du sel, hôtellerie. Les acteurs locaux craignent que la nouvelle ville ne porte atteinte à l’écosystème et au patrimoine économique du Lac Rose.
Le collectif souligne qu’il ne s’oppose pas au projet, mais à son emplacement. Il propose qu'Orascom soit installé sur une partie non touristique du titre foncier de la DGPU, afin d’éviter la pression foncière sur le lac et ses villages traditionnels.







 

 
 
					  
		 