Les syndicats d’enseignants signataires de l’accord du samedi 26 février demandent à leurs militants de s’atteler à ‘’la reprise immédiate’’ des cours et au ‘’retour à la normale’’ des enseignements dans les écoles publiques, a-t-on appris, lundi, à Dakar, du secrétaire général du Syndicat des enseignants libres du Sénégal (SELS), Amidou Diédhiou.
‘’On demande à tous les acteurs de consolider les acquis et de s’inscrire résolument dans une dynamique de reprise et de retour à la normale’’, a dit M. Diédhiou.
Il prenait part à un point de presse de cinq syndicats membres du G7, qui ont signé l’accord après de longues négociations avec l’Etat.
‘’Cet accord conclu avec l’Etat est inclusif et intègre les différentes fonctions et positions du système [de l’enseignement], tout en gommant durablement le profond malaise qui impacte négativement le rendement du secteur’’, a souligné le leader du SELS en lisant une déclaration des cinq syndicats.
Il s’agit, outre le SELS, de l’Union démocratique des enseignantes et enseignants du Sénégal, du Syndicat des enseignants libres du Sénégal/Authentique, du Syndicat national des enseignants en langue arabe du Sénégal et du Syndicat des inspecteurs et inspectrices de l’enseignement du Sénégal.
‘’En signant cet accord, cinq syndicats du G7 [font savoir] sans équivoque qu’ils ont entendu le cri d’angoisse de ces milliers d’élèves et de parents d’élèves, de toute la communauté traumatisée et inquiète du sort de l’école’’, a souligné Amidou Diédhiou.
‘’Debout et solidaires aux côtés du peuple des travailleurs du secteur de l’éducation et de la formation’’, les élèves, les parents d’élèves et les militants de la société civile ‘’ont manifesté leur adhésion et leur compréhension au fondement de nos revendications’’, s’est réjoui M. Diédhiou.
Selon lui, les leaders des syndicats signataires de l’accord ont effectué des tournées d’information dans le territoire national, sur les propositions faites par le gouvernement, que les militants ont acceptées.
Les enseignants membres des cinq syndicats ont reconnu l’‘’avancée historique’’ contenue dans l’accord signé avec les autorités gouvernementales après plusieurs semaines de grève, a souligné le leader du SELS.
Les délégués syndicaux ont assuré leurs militants de leur détermination à ‘’rester vigilants et attentifs au respect strict’’ de l’accord conclu, a-t-il dit.
Ils reconnaissent aussi devoir fière chandelle aux leaders de la Coalition des organisations en synergie pour la défense de l’éducation publique, aux autorités religieuses et coutumières, qui se sont ‘’totalement investis pour le parachèvement [des] négociations’’.
Les syndicats signataires de l’accord ont fait part de leur engagement à construire une ‘’école de qualité’’, avec ‘’des conditions de travail et une rémunération motivantes’’.
Le Syndicat autonome des enseignants du moyen-secondaire et le Cadre unitaire syndical des enseignants du moyen-secondaire, membres du G7, n’ont pas signé l’accord.
Leurs délégués ‘’ont pris acte des propositions faites par le gouvernement’’ et ont décidé de se donner le temps de les étudier avec leurs militants.
Les syndicats réclamaient une ‘’amélioration’’ de la rémunération des enseignants et la correction des ‘’iniquités’’ de traitement entre eux et certains fonctionnaires. Ils protestaient contre le non-respect d’engagements pris avec eux par le gouvernement depuis 2018. Affirme Vipeoples .
‘’On demande à tous les acteurs de consolider les acquis et de s’inscrire résolument dans une dynamique de reprise et de retour à la normale’’, a dit M. Diédhiou.
Il prenait part à un point de presse de cinq syndicats membres du G7, qui ont signé l’accord après de longues négociations avec l’Etat.
‘’Cet accord conclu avec l’Etat est inclusif et intègre les différentes fonctions et positions du système [de l’enseignement], tout en gommant durablement le profond malaise qui impacte négativement le rendement du secteur’’, a souligné le leader du SELS en lisant une déclaration des cinq syndicats.
Il s’agit, outre le SELS, de l’Union démocratique des enseignantes et enseignants du Sénégal, du Syndicat des enseignants libres du Sénégal/Authentique, du Syndicat national des enseignants en langue arabe du Sénégal et du Syndicat des inspecteurs et inspectrices de l’enseignement du Sénégal.
‘’En signant cet accord, cinq syndicats du G7 [font savoir] sans équivoque qu’ils ont entendu le cri d’angoisse de ces milliers d’élèves et de parents d’élèves, de toute la communauté traumatisée et inquiète du sort de l’école’’, a souligné Amidou Diédhiou.
‘’Debout et solidaires aux côtés du peuple des travailleurs du secteur de l’éducation et de la formation’’, les élèves, les parents d’élèves et les militants de la société civile ‘’ont manifesté leur adhésion et leur compréhension au fondement de nos revendications’’, s’est réjoui M. Diédhiou.
Selon lui, les leaders des syndicats signataires de l’accord ont effectué des tournées d’information dans le territoire national, sur les propositions faites par le gouvernement, que les militants ont acceptées.
Les enseignants membres des cinq syndicats ont reconnu l’‘’avancée historique’’ contenue dans l’accord signé avec les autorités gouvernementales après plusieurs semaines de grève, a souligné le leader du SELS.
Les délégués syndicaux ont assuré leurs militants de leur détermination à ‘’rester vigilants et attentifs au respect strict’’ de l’accord conclu, a-t-il dit.
Ils reconnaissent aussi devoir fière chandelle aux leaders de la Coalition des organisations en synergie pour la défense de l’éducation publique, aux autorités religieuses et coutumières, qui se sont ‘’totalement investis pour le parachèvement [des] négociations’’.
Les syndicats signataires de l’accord ont fait part de leur engagement à construire une ‘’école de qualité’’, avec ‘’des conditions de travail et une rémunération motivantes’’.
Le Syndicat autonome des enseignants du moyen-secondaire et le Cadre unitaire syndical des enseignants du moyen-secondaire, membres du G7, n’ont pas signé l’accord.
Leurs délégués ‘’ont pris acte des propositions faites par le gouvernement’’ et ont décidé de se donner le temps de les étudier avec leurs militants.
Les syndicats réclamaient une ‘’amélioration’’ de la rémunération des enseignants et la correction des ‘’iniquités’’ de traitement entre eux et certains fonctionnaires. Ils protestaient contre le non-respect d’engagements pris avec eux par le gouvernement depuis 2018. Affirme Vipeoples .