Le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement, Mansour Faye, a relevé que le PAGOTRANS s’inscrit dans le cadre d’une ’’dynamique régionale’’ coordonnée par l’UEMOA, à travers le Programme d’infrastructures régionales (PIR) du 11e Fonds économique de développement (FED) de l’Afrique de l’ouest.
Le PAGOTRANS s’appuie essentiellement sur deux volets, à savoir ’’une assistance technique’’ portant notamment sur l’opérationnalisation de la Banque centrale des données routières (BCDR), a expliqué le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement.
Selon lui, le volet comporte également ’’l’amélioration de la gestion de l’entretien routier et la fluidité des services de transport sur le corridor international Dakar-Bamako’’.
L’autre volet du projet est notamment axé sur ’’la sensibilisation autour des problématiques de la charge à l’essieu, l’entretien routier, la lutte contre les pratiques anormales, la pollution et la prise en compte des femmes dans le secteur des transports’’, a ajouté Mansour Faye.
Le PAGOTRANS devrait, à terme, permettre la mise en place ’’d'une meilleure stratégie pour préserver le patrimoine routier, l’amélioration de la fluidité du transport sur les corridors routiers et la mise en œuvre harmonisée et synchronisée des règlements’’, a dit M. Faye.
D’après l'Aps, la cheffe de la délégation de l’Union européenne à Dakar, Irène Mingasson a, pour sa part, invité les différents acteurs intervenants dans le transport à ’’une gestion consciencieuse’’ des infrastructures.
Elle a également insisté sur la nécessité ’’d’investir davantage dans les infrastructures routières’,’ dans une perspective de réussir ’’l’intégration sous régionale’’ par la densification des corridors internationaux dont les impacts sur les activités économiques sont considérables.
Prenant la parole aux noms des associations de transporteurs, Mbaye Amar, a, lui, invité les autorités à favoriser ’’les activités de sensibilisation’’ au profit des conducteurs sur le bon comportement à adopter sur la route et avec son véhicule.
Il a aussi évoqué la question ’’des aires de repos’’, à rendre systématiques dans les corridors, afin d’éviter ’’la fatigue et la somnolence’’, très souvent cités comme les causes des accidents sur la route.
Le PAGOTRANS s’appuie essentiellement sur deux volets, à savoir ’’une assistance technique’’ portant notamment sur l’opérationnalisation de la Banque centrale des données routières (BCDR), a expliqué le ministre des Infrastructures, des Transports terrestres et du Désenclavement.
Selon lui, le volet comporte également ’’l’amélioration de la gestion de l’entretien routier et la fluidité des services de transport sur le corridor international Dakar-Bamako’’.
L’autre volet du projet est notamment axé sur ’’la sensibilisation autour des problématiques de la charge à l’essieu, l’entretien routier, la lutte contre les pratiques anormales, la pollution et la prise en compte des femmes dans le secteur des transports’’, a ajouté Mansour Faye.
Le PAGOTRANS devrait, à terme, permettre la mise en place ’’d'une meilleure stratégie pour préserver le patrimoine routier, l’amélioration de la fluidité du transport sur les corridors routiers et la mise en œuvre harmonisée et synchronisée des règlements’’, a dit M. Faye.
D’après l'Aps, la cheffe de la délégation de l’Union européenne à Dakar, Irène Mingasson a, pour sa part, invité les différents acteurs intervenants dans le transport à ’’une gestion consciencieuse’’ des infrastructures.
Elle a également insisté sur la nécessité ’’d’investir davantage dans les infrastructures routières’,’ dans une perspective de réussir ’’l’intégration sous régionale’’ par la densification des corridors internationaux dont les impacts sur les activités économiques sont considérables.
Prenant la parole aux noms des associations de transporteurs, Mbaye Amar, a, lui, invité les autorités à favoriser ’’les activités de sensibilisation’’ au profit des conducteurs sur le bon comportement à adopter sur la route et avec son véhicule.
Il a aussi évoqué la question ’’des aires de repos’’, à rendre systématiques dans les corridors, afin d’éviter ’’la fatigue et la somnolence’’, très souvent cités comme les causes des accidents sur la route.