L’association « Safara Hépatite », estimant le nombre de personnes atteintes de cette maladie virale à 2,5 millions, conteste la coordonnatrice du programme de lutte contre l’Hépatite au Sénégal. « Il faut dépister les gens, avant de savoir ce à quoi, ils souffrent. 20 ans sans moyens et œuvrant derrière un programme et sans résultats, je dois franchement avoir le courage de démissionner.
Cette démission permettra à l’Etat de reconnaître votre manque de moyens », a contesté le secrétaire général de l’association Safa Hépatite, Ibrahima Guèye sur la RFM.
Mais, la coordonnatrice du programme Hépatite, Aminata Sall Diallo, égratignée précise que ce le Secrétaire général de cette association qui doit décider de sa démission. Et ce dernier, insiste-t-elle, doit faire son travail et la laisser tranquille.
« S’il dit que le Sénégal n’est pas prêt à atteindre ses objectifs, il raconte des contrevérités. Nous avons présenté lors d’une conférence scientifique qu’on peut atteindre les objectifs 2030. Même si on a de maigres moyens financiers. Ce que nous faisons aujourd’hui, dans la lutte contre l’Hépatite, il n’y a aucun pays africain qui le fait présentement », s’est-elle défendue.
Cette démission permettra à l’Etat de reconnaître votre manque de moyens », a contesté le secrétaire général de l’association Safa Hépatite, Ibrahima Guèye sur la RFM.
Mais, la coordonnatrice du programme Hépatite, Aminata Sall Diallo, égratignée précise que ce le Secrétaire général de cette association qui doit décider de sa démission. Et ce dernier, insiste-t-elle, doit faire son travail et la laisser tranquille.
« S’il dit que le Sénégal n’est pas prêt à atteindre ses objectifs, il raconte des contrevérités. Nous avons présenté lors d’une conférence scientifique qu’on peut atteindre les objectifs 2030. Même si on a de maigres moyens financiers. Ce que nous faisons aujourd’hui, dans la lutte contre l’Hépatite, il n’y a aucun pays africain qui le fait présentement », s’est-elle défendue.