Le ministre de l’Environnement et de la Transition écologique, Elhadj Abdourahmane Diouf, a annoncé, mercredi, devant l’Assemblée nationale, la volonté du gouvernement de s’orienter vers des partenariats public-privé (PPP), pour renforcer la gestion et l’attractivité des espaces naturels, à commencer par le parc de Hann. Un site qu’il considère comme un levier économique et touristique majeur au cœur de Dakar.
Évoquant la situation actuelle du parc zoologique et forestier de Hann, le ministre a rappelé que, malgré les efforts du personnel du ministère, le modèle de gestion doit évoluer. “Le parc Hann est bien géré par le personnel du ministère, mais le gouvernement doit changer de perspective et s’orienter vers des partenariats publics-privés”, a-t-il déclaré, lors de l’examen du budget 2026 de son département.
Avec ses 60 hectares, le parc n’a généré que 4,2 millions de francs Cfa sur un an, alors que l’État lui consacre 173 millions de francs Cfa, hors appuis des partenaires financiers. Un écart qui, selon le ministre, montre la nécessité d’impliquer davantage le secteur privé dans sa modernisation et sa rentabilité.
Elhadj Abdourahmane Diouf a annoncé, à cet effet, qu’un appel d’offres sera lancé en 2026, pour associer des acteurs privés nationaux, et éventuellement, internationaux, à la gestion et au développement des parcs. “Cette approche s’inspire de modèles observés au Kenya et en Tanzanie et vise à pallier l’insuffisance des budgets actuels”, a-t-il expliqué.
Le ministre a par ailleurs souligné que les parcs urbains sénégalais, à l’image de ceux de grandes villes comme Bruxelles ou Genève, peuvent devenir de véritables moteurs économiques, créateurs d’emplois, tout en offrant des espaces de loisirs, de restauration et de bien-être aux populations.
S’appuyant sur l’exemple du parc de Hann, il a insisté sur la nécessité de capitaliser sur les expériences acquises, afin d’améliorer la gestion d’autres sites naturels à travers le pays.
Elhadj Abdourahmane Diouf a, enfin, appelé à une mobilisation collective pour valoriser les espaces verts, renforcer leur rôle dans l’économie nationale et consolider les efforts de préservation de l’environnement.
Évoquant la situation actuelle du parc zoologique et forestier de Hann, le ministre a rappelé que, malgré les efforts du personnel du ministère, le modèle de gestion doit évoluer. “Le parc Hann est bien géré par le personnel du ministère, mais le gouvernement doit changer de perspective et s’orienter vers des partenariats publics-privés”, a-t-il déclaré, lors de l’examen du budget 2026 de son département.
Avec ses 60 hectares, le parc n’a généré que 4,2 millions de francs Cfa sur un an, alors que l’État lui consacre 173 millions de francs Cfa, hors appuis des partenaires financiers. Un écart qui, selon le ministre, montre la nécessité d’impliquer davantage le secteur privé dans sa modernisation et sa rentabilité.
Elhadj Abdourahmane Diouf a annoncé, à cet effet, qu’un appel d’offres sera lancé en 2026, pour associer des acteurs privés nationaux, et éventuellement, internationaux, à la gestion et au développement des parcs. “Cette approche s’inspire de modèles observés au Kenya et en Tanzanie et vise à pallier l’insuffisance des budgets actuels”, a-t-il expliqué.
Le ministre a par ailleurs souligné que les parcs urbains sénégalais, à l’image de ceux de grandes villes comme Bruxelles ou Genève, peuvent devenir de véritables moteurs économiques, créateurs d’emplois, tout en offrant des espaces de loisirs, de restauration et de bien-être aux populations.
S’appuyant sur l’exemple du parc de Hann, il a insisté sur la nécessité de capitaliser sur les expériences acquises, afin d’améliorer la gestion d’autres sites naturels à travers le pays.
Elhadj Abdourahmane Diouf a, enfin, appelé à une mobilisation collective pour valoriser les espaces verts, renforcer leur rôle dans l’économie nationale et consolider les efforts de préservation de l’environnement.







