Le 22 septembre 2025, la gendarmerie a mis fin aux activités de trois hommes se présentant comme assistants infirmiers ou opérateurs de bloc, mais exerçant illégalement depuis plusieurs années dans des structures de Dakar. Il s’agit de A. Diop, 49 ans, domicilié à Keur Massar, Y. Ndiaye, 48 ans, de Thiaroye, et B. Coly, 47 ans, de Pikine.
Selon des révélations relayées par "Seneweb", les suspects sont poursuivis pour usurpation de fonction de médecin, exercice illégal de la médecine et mise en danger de la vie d’autrui. Ils auraient mené divers actes médicaux non autorisés, dont des circoncisions ayant entraîné des complications chez plusieurs patients.
Un cas particulièrement grave concerne A. Diop, accusé d’avoir perçu 400 000 FCfa pour une opération de goitre jamais réalisée, exposant ainsi la patiente à de lourdes conséquences médicales. Une descente des gendarmes à l’hôpital Abass Ndao a confirmé ces pratiques, décrites par un responsable du bloc, comme une « vieille habitude ».
D’après toujours "Seneweb", certains responsables de l’établissement auraient déclaré ignorer l’existence de ces activités illicites. L’affaire, confiée au parquet de Pikine-Guédiawaye, jette une lumière crue sur les dérives dans certains établissements sanitaires et soulève de sérieuses inquiétudes sur la sécurité des patients.
Selon des révélations relayées par "Seneweb", les suspects sont poursuivis pour usurpation de fonction de médecin, exercice illégal de la médecine et mise en danger de la vie d’autrui. Ils auraient mené divers actes médicaux non autorisés, dont des circoncisions ayant entraîné des complications chez plusieurs patients.
Un cas particulièrement grave concerne A. Diop, accusé d’avoir perçu 400 000 FCfa pour une opération de goitre jamais réalisée, exposant ainsi la patiente à de lourdes conséquences médicales. Une descente des gendarmes à l’hôpital Abass Ndao a confirmé ces pratiques, décrites par un responsable du bloc, comme une « vieille habitude ».
D’après toujours "Seneweb", certains responsables de l’établissement auraient déclaré ignorer l’existence de ces activités illicites. L’affaire, confiée au parquet de Pikine-Guédiawaye, jette une lumière crue sur les dérives dans certains établissements sanitaires et soulève de sérieuses inquiétudes sur la sécurité des patients.
