La politique de migration circulaire peine à donner des résultats au Sénégal. Selon Dr Modou Diagne, contrôleur de police et secrétaire permanent du CILMI, « sur les 250 migrants envoyés en Espagne, seuls 100 sont revenus ».
Dans un entretien rapporté par Le Quotidien, il regrette que la majorité ait choisi de disparaître dans la nature, compromettant ainsi la crédibilité du dispositif. « Au Maroc, ce programme fonctionne bien avec 22 000 placements en Espagne et 60 000 en Europe chaque année », souligne-t-il.
Pour Dr Diagne, le Sénégal doit viser des chiffres plus ambitieux – 2 000 à 5 000 migrants placés par an – tout en organisant davantage le suivi des bénéficiaires. « Ces défections ne rendent pas service à notre pays », a-t-il insisté.
Dans un entretien rapporté par Le Quotidien, il regrette que la majorité ait choisi de disparaître dans la nature, compromettant ainsi la crédibilité du dispositif. « Au Maroc, ce programme fonctionne bien avec 22 000 placements en Espagne et 60 000 en Europe chaque année », souligne-t-il.
Pour Dr Diagne, le Sénégal doit viser des chiffres plus ambitieux – 2 000 à 5 000 migrants placés par an – tout en organisant davantage le suivi des bénéficiaires. « Ces défections ne rendent pas service à notre pays », a-t-il insisté.
